DĂ©finitiondu verbe rĂ©flĂ©chir 1) Penser longuement Ă  quelque chose 2) Renvoyer des rayons lumineux ou autres qui ont Ă©tĂ© reçus (ex : le miroir rĂ©flĂ©chit la Par Shu Qin, Chine En fĂ©vrier de l’annĂ©e derniĂšre, j’ai Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans une Église en tant que dirigeant. Certaines tĂąches n’y Ă©taient pas faites de façon trĂšs efficace, et je me suis dit Les dirigeants qui ont arrangĂ© ma venue ici doivent beaucoup m’estimer, et penser que je suis capable de reprendre en main le travail de cette Église. Il faut que je m’en sorte bien, que je montre Ă  ces dirigeants que je peux faire un travail pratique et qu’ils ont eu raison de me choisir. » Ensuite, j’ai Ă©tĂ© voir chaque groupe de l’Église, pour savoir oĂč en Ă©tait leur travail, et rĂ©soudre les difficultĂ©s et problĂšmes des frĂšres et sƓurs dans leurs devoirs. Certains frĂšres et sƓurs Ă©tant dans un mauvais Ă©tat, je les ai aidĂ©s et soutenus avec amour. Quand je trouvais que des gens ne convenaient pas Ă  un poste, je discutais avec ma partenaire et je les transfĂ©rais ou je les remplaçais, conformĂ©ment aux principes. Au bout d’un moment, le travail de l’Église s’est quelque peu amĂ©liorĂ©. J’étais trĂšs content, mais je n’ai pas pu m’empĂȘcher de penser Je crois que je peux faire davantage de travail pratique. Il faut que je travaille dur pour obtenir de meilleurs rĂ©sultats, ainsi, mes frĂšres et sƓurs verront mes capacitĂ©s de travail et diront que je suis un bon dirigeant. » Un jour, alors que nous passions en revue certaines tĂąches, j’ai remarquĂ© que l’efficacitĂ© du travail d’abreuvement avait beaucoup diminuĂ©, et que plusieurs nouveaux venus n’allaient pas aux rĂ©unions. J’ai pensĂ© Les autres tĂąches sont faites plus efficacement, maintenant, mais l’efficacitĂ© du travail d’abreuvement a dĂ©clinĂ©. On ne peut pas laisser le travail d’abreuvement affecter les rĂ©sultats d’ensemble, sinon, tout le monde va dire que je suis incompĂ©tent, ce qui nuirait Ă  mon image. » Alors je suis vite allĂ© voir le personnel d’abreuvement, j’ai appris que la dirigeante du groupe, SƓur Wu, ignorait les difficultĂ©s des nouveaux venus quand elle arrangeait leurs rĂ©unions et devoirs. Elle arrangeait des rĂ©unions quand certains nouveaux venus devaient travailler, ce qui les empĂȘchait d’y assister, du coup, ils avaient des difficultĂ©s, pensaient ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur, et devenaient nĂ©gatifs. Apprendre ça m’a mis un peu en colĂšre. J’ai pensĂ© J’ai clairement dit Ă  SƓur Wu que nous devions penser Ă  la situation des nouveaux venus quand nous arrangeons rĂ©unions et devoirs pour eux. Pourquoi ne peut-elle pas maĂźtriser ce concept et se montrer plus souple ? Je crois qu’elle n’a pas le calibre nĂ©cessaire pour cet abreuvement. Les mauvais rĂ©sultats que nous obtenons ont tous Ă  voir avec elle. Je ne peux pas la laisser, Ă  elle seule, affecter le travail de l’Église toute entiĂšre. Il faut la dĂ©mettre immĂ©diatement. Si je ne la dĂ©mets pas, nos rĂ©sultats ne vont jamais s’amĂ©liorer. Cela va entraver le travail de la maison de Dieu, et, en plus, mes supĂ©rieurs, et les frĂšres et sƓurs, vont penser que je suis incapable de travailler, ou de rĂ©soudre des problĂšmes rĂ©els. Je ne peux pas laisser les gens douter de ma compĂ©tence. » Donc, aprĂšs la rĂ©union, j’ai Ă©voquĂ© le renvoi de SƓur Wu avec ma partenaire et les diacres. La diaconesse d’abreuvement a dit Autrefois, SƓur Wu abreuvait efficacement les nouveaux venus. Elle est peut-ĂȘtre en mauvais Ă©tat, en ce moment, elle a peut-ĂȘtre formĂ© les nouveaux venus un peu trop rapidement, voilĂ  tout. Nous devrions Ă©tudier sa situation, puis Ă©changer avec elle et l’aider. Si elle ne change pas, au bout d’un certain temps, nous la dĂ©mettrons. » Mais Ă  ce moment-lĂ , j’ai uniquement pensĂ© que ma rĂ©putation et mon statut risquaient d’en pĂątir. Je me disais SƓur Wu ne vient pas de commencer Ă  abreuver les nouveaux venus. Et je lui ai dĂ©jĂ  parlĂ© de ce problĂšme. Je crois qu’elle refuse d’accepter les rappels et l’aide. Si nous ne la renvoyons pas Ă  temps, et que nous prenons du retard, ou si le travail s’en trouve affectĂ©, je vais forcĂ©ment ĂȘtre tenu pour responsable, donc, peu importe le moyen, cette fois, je dois arriver Ă  convaincre les diacres de dĂ©mettre SƓur Wu. » Alors j’ai dit sur un ton furibond SƓur Wu est inefficace dans son devoir, ce qui prouve qu’elle est incompĂ©tente et qu’elle ne convient pas Ă  ce poste. Si vous la gardez, et que les rĂ©sultats de notre travail ne s’amĂ©liorent pas, lequel d’entre vous en assumera la responsabilitĂ© ? Vous n’avez qu’à l’aider, mais sans moi ! » Voyant mon attitude, ma partenaire et les diacres n’ont rien osĂ© dire. Plus tard, j’ai appris que SƓur Wu Ă©tait devenue trĂšs nĂ©gative aprĂšs avoir Ă©tĂ© remplacĂ©e. Elle se disait qu’elle avait abreuvĂ© des nouveaux venus pendant des annĂ©es, avec de bons rĂ©sultats. Mais lĂ , elle formait des nouveaux venus qui dĂ©butaient dans leur foi, parce que l’Église manquait de personnel d’abreuvement, et elle devait combiner plusieurs lieux de rencontre. Du coup, il y avait des problĂšmes quand elle Ă©tait trop prise pour s’occuper des difficultĂ©s de tous les nouveaux venus. Elle n’avait pas cru pouvoir ĂȘtre dĂ©mise comme ça, donc elle se disait que nous l’avions renvoyĂ©e sans principes, en nous basant sur un comportement qu’elle avait eu temporairement, et non sur une Ă©valuation Ă©quilibrĂ©e de son comportement habituel. Quand j’ai appris ça, non seulement je n’ai pas cherchĂ© la vĂ©ritĂ©, ni rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme, mais je me suis dit que SƓur Wu Ă©tait de faible stature, qu’elle ne pouvait pas se connaĂźtre ni tirer de leçons de cette situation, et je n’ai pas pris ça au sĂ©rieux du tout. AprĂšs le renvoi de SƓur Wu, nous avons choisi SƓur Liu comme dirigeante de groupe. Ravi, je me suis dit Maintenant, le travail d’abreuvement devrait ĂȘtre plus efficace ! » Mais, au bout d’un moment, j’ai dĂ©couvert que SƓur Liu avait une faible capacitĂ© de travail, et qu’elle n’était pas aussi responsable que SƓur Wu. Elle ne comprenait pas Ă  temps l’état des nouveaux venus, et ne savait pas comment rĂ©soudre leurs problĂšmes. Par consĂ©quent, le temps a passĂ©, mais le travail d’abreuvement ne s’est pas amĂ©liorĂ©. J’ai commencĂ© Ă  me sentir mal Ă  l’aise et Ă  me demander si renvoyer SƓur Wu avait Ă©tĂ© une erreur, mais, vu la situation, j’ai dĂ©cidĂ© d’échanger avec SƓur Liu et de l’aider davantage, pour voir si ses rĂ©sultats allaient s’amĂ©liorer. Des nouveaux venus continuant d’arriver dans l’Église, la prioritĂ© a Ă©tĂ© de former rapidement davantage de personnel d’abreuvement. J’ai donc vite commencĂ© Ă  chercher des candidats. J’ai pensĂ© Ă  SƓur Chen, qui avait Ă©tĂ© dĂ©mise et Ă©tait encore isolĂ©e pour rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme. Elle avait prĂȘchĂ© l’Évangile auparavant, et avait obtenu des rĂ©sultats, donc j’ai voulu la former. Je pensais juste qu’elle Ă©tait amicale, qu’elle communiquait facilement avec les gens, et que si nous la formions, cela rĂ©soudrait le problĂšme du travail d’abreuvement. Mes supĂ©rieurs diraient forcĂ©ment que j’étais de bon calibre, que j’étais un bon dirigeant. Alors j’ai demandĂ© Ă  la diaconesse d’abreuvement de s’attacher Ă  cultiver SƓur Chen. EmbarrassĂ©e, cette diaconesse a rĂ©pondu Nous avions pensĂ© Ă  un arrangement de ce genre, mais nous avons vu que SƓur Chen n’avait toujours aucune connaissance d’elle-mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©mise. Quand elle prĂȘchait l’Évangile, elle luttait pour la gloire et le gain, et semait la jalousie et le conflit, ce qui empĂȘchait totalement les autres d’accomplir leur devoir normalement. Si nous la formons Ă  l’abreuvement maintenant, elle va continuer Ă  se montrer malfaisante et Ă  provoquer des perturbations. L’abreuvement est l’une des tĂąches les plus importantes dans la maison de Dieu. Ceux qui sont formĂ©s dans ce but doivent avoir une bonne humanitĂ© et ne pas perturber le travail de la maison de Dieu. Nous devons faire les choses conformĂ©ment au principe ! » Les paroles de la diaconesse m’ont rendu nerveux. J’ai pensĂ© SƓur Chen est amicale et elle a du calibre. La former Ă  abreuver les nouveaux venus va forcĂ©ment rendre le travail plus efficace rapidement. Si nous dĂ©cidons de ne pas la former parce qu’elle semble ne pas s’ĂȘtre vĂ©ritablement repentie, mes dirigeants ne pourront pas constater que j’ai une grande capacitĂ© de travail. Ça ne va pas du tout. Je dois convaincre la diaconesse de faire ce que je veux, je ne peux pas renoncer comme ça. » Alors j’ai traitĂ© cette diaconesse d’abreuvement, en disant Est-ce bien le moment de suivre les rĂšgles aveuglĂ©ment ? Les principes disent aussi que ceux qui ont transgressĂ© autrefois doivent avoir la possibilitĂ© de se repentir. SƓur Chen est amicale et a le calibre nĂ©cessaire pour abreuver les nouveaux venus, nous pouvons donc la former. Il faut juste la surveiller et ne pas la laisser provoquer des perturbations. SƓur Chen est de bon calibre et elle apprend vite. Disposer d’une sƓur compĂ©tente pour l’abreuvement rĂ©soudra bien des problĂšmes. Allez la chercher et amenez-la Ă  la rĂ©union ! » Quand la diaconesse d’abreuvement a vu que je m’entĂȘtais, elle n’a rien ajoutĂ©. Mais quelques jours plus tard, la diaconesse d’abreuvement a signalĂ© que SƓur Chen n’investiguait pas les notions et la confusion des nouveaux venus avant de les abreuver, et qu’elle n’offrait pas d’échange ciblĂ©. À la place, elle insistait pour Ă©changer en se basant sur ses propres idĂ©es, ce qui avait amenĂ© deux nouveaux venus Ă  s’opposer, Ă  rĂ©sister et Ă  cesser de croire. À l’époque, ça m’a mis un peu mal Ă  l’aise. Vu son calibre, SƓur Chen n’aurait pas dĂ» faire une chose pareille. Plus tard, quand j’ai discutĂ© avec elle, j’ai compris qu’elle n’était proactive dans ses devoirs qu’en apparence. Elle n’avait aucune comprĂ©hension de ses transgressions passĂ©es, et, alors qu’un problĂšme grave Ă©tait survenu dans son travail, elle n’avait pas rĂ©flĂ©chi sur elle-mĂȘme et n’en avait tirĂ© aucune leçon. Elle Ă©tait indiffĂ©rente. Ce n’est qu’alors que j’ai pris conscience que je l’avais peut-ĂȘtre cultivĂ©e trop prĂ©cocement, et qu’elle avait sans doute besoin de continuer Ă  s’isoler pour rĂ©flĂ©chir. Mais, rĂ©flexion faite, j’ai pensĂ© que SƓur Chen Ă©tait de bon calibre, qu’elle avait Ă©tĂ© dirigeante, et que si je l’aidais davantage, elle pourrait vite comprendre et se reprendre en main. Il fallait juste que je la forme et que j’amĂ©liore les rĂ©sultats du travail d’abreuvement, ensuite mes dirigeants m’approuveraient. Et donc, alors que je m’attendais Ă  obtenir de bons rĂ©sultats, un matin, ma partenaire m’a dit Les frĂšres et sƓurs ont Ă©crit pour dire que tu ne faisais pas ton devoir conformĂ©ment aux principes. Tu as arrangĂ©, par la force, que SƓur Chen, qui Ă©tait isolĂ©e, fasse le travail d’abreuvement. Durant cette pĂ©riode, SƓur Chen a eu de nombreux problĂšmes en abreuvant les nouveaux venus, mais elle n’a pas rĂ©flĂ©chi ni montrĂ© la moindre conscience d’elle-mĂȘme. Si l’on regarde son comportement habituel, elle s’avĂšre complĂštement inapte Ă  ĂȘtre cultivĂ©e, et les frĂšres et sƓurs recommandent qu’elle continue Ă  s’isoler et Ă  rĂ©flĂ©chir. » Quand j’ai entendu ce que ma partenaire disait, mon cƓur a failli s’arrĂȘter C’est fini. Je suis fichu ! Il ne s’agit pas de simples rĂ©actions, mais d’un rapport officiel, qui m’expose parce que je n’ai pas agi selon les principes. Ça fait des annĂ©es que je crois en Dieu, et je n’ai jamais Ă©tĂ© signalĂ© par quiconque. Que vont penser de moi mes frĂšres et sƓurs, maintenant ? » Je me suis alors senti trĂšs embarrassĂ©. J’ai pris un verre d’eau et j’en ai bu quelques gorgĂ©es, pour essayer de me calmer, mais mon cƓur Ă©tait aussi agitĂ© qu’une mer dĂ©montĂ©e Si mes dirigeants dĂ©couvrent le contenu de cette lettre, ils vont dire que je ne fais pas mon devoir conformĂ©ment aux principes, et que je perturbe le travail de l’Église. Vont-ils me dĂ©mettre, aprĂšs ça ? » Mon esprit Ă©tait en pleine effervescence. Finalement, je me suis avachi dans mon fauteuil comme une baudruche qui se dĂ©gonfle. Quand ma partenaire a vu mon Ă©tat, elle a dit Être surveillĂ©s et exposĂ©s par nos frĂšres et sƓurs nous aide. Maintenant, tu dois recevoir de Dieu. » J’ai promis de recevoir de Dieu, mais, en fait, je ne parvenais pas Ă  calmer mon esprit. Je n’ai pas pu manger ou dormir de la journĂ©e. Quand je pensais que les faits de mon comportement avaient Ă©tĂ© exposĂ©s dans cette lettre, cela me transperçait le cƓur. Je suis tombĂ© Ă  genoux, et j’ai priĂ© Dieu Dieu ! Je sais que Tu as de bonnes intentions en laissant tout ça m’arriver. S’il Te plaĂźt, aide-moi Ă  comprendre Ta volontĂ© et Ă  en tirer des leçons. » Plus tard, en rĂ©flĂ©chissant et en cherchant, j’ai lu ces paroles de Dieu. Quoi qu’ils fassent, les antĂ©christs ont toujours leurs propres buts et intentions, ils agissent toujours selon leur propre plan, et leur attitude envers les arrangements et le travail de la maison de Dieu est la suivante “Tu as peut-ĂȘtre un millier de projets, mais moi j’ai une rĂšgle” tout cela est dĂ©terminĂ© par la nature de l’antĂ©christ. Un antĂ©christ peut-il changer sa mentalitĂ© et agir selon les principes de la vĂ©ritĂ© ? Ce serait absolument impossible. [
] Quel que soit le devoir qu’ils accomplissent, les antĂ©christs s’en tiennent toujours au mĂȘme principe il faut qu’ils glanent un bĂ©nĂ©fice. Le genre de travail que les antĂ©christs aiment le plus, c’est quand cela ne leur coĂ»te rien, quand ils n’ont pas Ă  souffrir ni Ă  payer un prix, et qu’il y a un avantage pour leur rĂ©putation et leur statut. En somme, quoi qu’ils fassent, les antĂ©christs se prĂ©occupent d’abord de leurs propres intĂ©rĂȘts et n’agissent qu’une fois qu’ils ont rĂ©flĂ©chi Ă  tout. Ils n’obĂ©issent pas vraiment, sincĂšrement et absolument Ă  la vĂ©ritĂ© sans compromis, mais le font de maniĂšre sĂ©lective et conditionnelle. De quelle condition s’agit-il ? Leur statut et leur rĂ©putation doivent ĂȘtre sauvegardĂ©s et ne doivent subir aucune perte. Ce n’est qu’une fois cette condition satisfaite qu’ils dĂ©cideront et choisiront quoi faire. C’est-Ă -dire que les antĂ©christs rĂ©flĂ©chissent sĂ©rieusement Ă  la maniĂšre de traiter les principes de la vĂ©ritĂ©, les commissions de Dieu et le travail de la maison de Dieu, et Ă  la façon de gĂ©rer ce Ă  quoi ils sont confrontĂ©s. Ils ne se soucient pas d’accomplir la volontĂ© de Dieu, d’éviter de nuire aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, de satisfaire Dieu ni d’ĂȘtre utiles aux frĂšres et sƓurs ce ne sont pas ces choses-lĂ  qui les prĂ©occupent. Qu’est-ce qui prĂ©occupe les antĂ©christs ? C’est de savoir si leur propre statut et leur rĂ©putation seront affectĂ©s, et si leur prestige sera amoindri. Si faire quelque chose selon les principes de la vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre bĂ©nĂ©fique au travail de l’Église et apporter des avantages aux frĂšres et sƓurs, mais en mĂȘme temps porter un coup Ă  leur propre rĂ©putation et faire que leur vraie stature, leur nature et leur essence soient rĂ©vĂ©lĂ©es Ă  beaucoup de gens, alors il est certain qu’ils n’agiront pas conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. Si faire un quelconque travail concret amĂšne plus de gens Ă  avoir une haute opinion d’eux, Ă  les admirer et Ă  les vĂ©nĂ©rer, et qu’ainsi leurs paroles seront chargĂ©es d’autoritĂ© et amĂšneront davantage de gens Ă  se soumettre Ă  eux, alors ils choisiront d’agir de cette maniĂšre ; sinon, ils n’accorderont absolument aucune considĂ©ration aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu ni Ă  ceux des frĂšres et sƓurs, et n’iront pas mettre de cĂŽtĂ© leurs propres intĂ©rĂȘts. Telles sont la nature et l’essence des antĂ©christs » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie III », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  cette parole de Dieu, j’ai compris que tout ce que les antĂ©christs font, ils le font pour protĂ©ger leur rĂ©putation et leur statut. Quand leur rĂ©putation et leur statut ne sont pas en jeu, ils sont capables d’agir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, mais si agir selon ces principes risque de menacer leur rĂ©putation et leur statut, les antĂ©christs violent ouvertement les principes et agissent arbitrairement, en suivant leurs propres idĂ©es. Pour protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts, ils sont prĂȘts Ă  nuire Ă  ceux de la maison de Dieu. J’ai rĂ©flĂ©chi Ă  ce que j’avais fait depuis que j’étais devenu dirigeant, et j’ai vu que j’avais Ă©tĂ© comme les antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©s par la parole de Dieu. J’avais voulu accomplir quelque chose rapidement, pour prouver que j’étais compĂ©tent et capable de faire un travail pratique, pour que mes supĂ©rieurs, et mes frĂšres et sƓurs, voient qu’en me nommant dirigeant, ils avaient fait le bon choix. Quand j’avais choisi et utilisĂ© des gens, je n’avais donc pas du tout cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ©, je n’avais pas essayĂ© de favoriser le travail de la maison de Dieu, je n’avais pas Ă©coutĂ© les conseils, et j’avais insistĂ© pour prendre les dĂ©cisions tout seul. Quand j’avais vu que SƓur Wu n’arrangeait pas les rĂ©unions et les devoirs des nouveaux venus en se basant sur leur situation rĂ©elle, j’avais ignorĂ© son Ă©tat et ses difficultĂ©s, je ne l’avais pas aidĂ©e Ă  trouver la racine de ses problĂšmes, Ă  entrer dans les principes, pour qu’elle Ă©vite de refaire les mĂȘmes erreurs. J’avais pensĂ© qu’elle n’obtenait pas de rĂ©sultats, ce qui allait nuire Ă  ma rĂ©putation, Ă  mon statut, alors je l’avais cataloguĂ©e injustement et exclue, j’avais voulu la renvoyer. Pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut, j’avais ignorĂ© les principes et les conseils de mes collaborateurs, et j’avais dĂ©mis SƓur Wu de force. Pourtant, je n’avais eu ni amour ni patience Ă  son Ă©gard. Je savais qu’elle avait du mal Ă  accomplir son devoir, mais je n’avais pas Ă©changĂ© avec elle pour l’aider, je l’avais dĂ©mise directement. J’étais comme un meurtrier sans pitiĂ©. J’étais vraiment inhumain ! AprĂšs avoir dĂ©mis SƓur Wu, la nouvelle sƓur que j’avais choisie avait Ă©tĂ© incapable de faire son travail, ce qui avait directement affectĂ© l’abreuvement. MĂȘme alors, je n’avais pas su rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme, et j’avais continuĂ© Ă  promouvoir quelqu’un qui avait perturbĂ© le travail de l’Église, en prĂ©textant que je cultivais le talent et que j’amĂ©liorais le travail d’abreuvement. J’avais mĂȘme sorti les choses de leur contexte, et dit, contre toute logique, que nous devions lui laisser une chance de se repentir. J’avais traitĂ© la diaconesse d’abreuvement parce qu’elle suivait les rĂšgles aveuglĂ©ment, au point qu’elle avait eu peur de me contredire. RĂ©sultat, SƓur Chen n’avait pas convenu du tout, et elle avait nui au travail d’abreuvement. J’ai vu que, pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut, j’étais prĂȘt Ă  prendre des raccourcis dans mon devoir, Ă  ignorer les principes et les rappels. MĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© signalĂ© et exposĂ©, je m’étais uniquement inquiĂ©tĂ© de la façon dont les dirigeants allaient me percevoir. Je n’avais pas rĂ©flĂ©chi aux causes de mes Ă©checs, j’avais protĂ©gĂ© ma rĂ©putation et mon statut avec entĂȘtement, et laissĂ© les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu en pĂątir, pour sauvegarder mes propres intĂ©rĂȘts. Ce que je manifestais, c’était le tempĂ©rament d’un antĂ©christ ! Plus tard, en cherchant, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu Si quelqu’un dit qu’il aime la vĂ©ritĂ© et qu’il recherche la vĂ©ritĂ© mais qu’en substance, le but qu’il poursuit est de se distinguer, de se montrer, de faire en sorte que les gens aient une haute opinion de lui, de rĂ©aliser ses propres intĂ©rĂȘts et que le but de l’accomplissement de son devoir n’est pas d’obĂ©ir Ă  Dieu ni de Le satisfaire, mais plutĂŽt d’obtenir un prestige et un statut, alors sa poursuite est illĂ©gitime. Ceci Ă©tant, par rapport au travail de l’Église, ses actions sont-elles un obstacle, ou est-ce qu’elles contribuent Ă  le faire avancer ? Elles sont clairement un obstacle elles ne le font pas avancer. Tous ceux qui brandissent la banniĂšre de l’accomplissement du travail de l’Église tout en poursuivant leur prestige et leur statut personnels, en faisant tourner leur entreprise, en crĂ©ant leur propre petit groupe, leur propre petit royaume, sont-ils le genre de personne qui accomplit son devoir ? Essentiellement, tout le travail qu’ils font interrompt, perturbe et entrave le travail de l’Église. Quelle est la consĂ©quence de leur poursuite du statut et du prestige ? PremiĂšrement, cela affecte la façon dont les Ă©lus de Dieu mangent et boivent la parole de Dieu et comprennent la vĂ©ritĂ©, cela entrave leur entrĂ©e dans la vie, cela les empĂȘche d’emprunter le droit chemin de la foi en Dieu et les conduit sur le mauvais chemin ce qui nuit aux Ă©lus et les mĂšne Ă  la ruine. Et quelle en est finalement l’incidence sur le travail de l’Église ? C’est un dĂ©mantĂšlement, une interruption et une altĂ©ration » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie I », dans Exposer les antĂ©christs. AprĂšs avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris que lorsque l’on poursuit la rĂ©putation et le statut sous la banniĂšre de l’accomplissement du devoir, l’essence de tout cela c’est que l’on agit comme des serviteurs de Satan et que l’on perturbe le travail de la maison de Dieu. La parole de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© l’essence de mes actes. Dieu m’avait exaltĂ© pour que je sois dirigeant parce qu’Il espĂ©rait que je tienne compte de Sa volontĂ©, que j’abreuve bien mes frĂšres et sƓurs, que je rĂ©solve leurs difficultĂ©s, et leurs problĂšmes d’entrĂ©e dans la vie, que je promeuve et forme des gens appropriĂ©s afin qu’ils fassent les diverses tĂąches de l’Église et qu’ils s’assurent que le travail de l’Église se dĂ©roulait normalement. Mais je n’avais pas tenu compte de la volontĂ© et des exigences de Dieu, et je n’avais pas assumĂ© mes responsabilitĂ©s en tant que dirigeant. Quand j’avais choisi et utilisĂ© des gens, je n’avais tenu compte que de mes propres intĂ©rĂȘts. Par consĂ©quent, je n’avais pas soutenu les nouveaux arrivants, et, en plus, j’avais entravĂ© le travail d’abreuvement, ce qui avait amenĂ© des nouveaux venus Ă  se retirer. En quoi avais-je fait mon devoir ? J’avais perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et fait le mal ! Je n’avais vraiment eu aucune conscience. J’étais trop Ă©goĂŻste et trop indiffĂ©rent. J’ai pensĂ© aux antĂ©christs et aux gens malfaisants qui avaient Ă©tĂ© expulsĂ©s de l’Église. Ils intriguaient sans cesse pour leur propre bĂ©nĂ©fice, ignoraient les principes de la vĂ©ritĂ© pour prĂ©server rĂ©putation et statut, ils faisaient leurs devoirs arbitrairement et de façon tyrannique, perturbaient gravement le travail de la maison de Dieu, et, du fait de leurs actes malfaisants, ils finissaient par ĂȘtre dĂ©testĂ©s et bannis par Dieu. Il n’y avait aucune diffĂ©rence, sur le fond, entre ce que je faisais et les actes des antĂ©christs ! Quand j’ai compris ça, j’en ai eu des sueurs froides, et j’ai priĂ© Dieu Dieu, j’ai Ă©tĂ© nĂ©gligent dans mon devoir. J’ai poursuivi la gloire, le statut et la rĂ©ussite rapide, et j’ai pris le mauvais chemin. Dieu, je souhaite me repentir devant Toi. S’il Te plaĂźt, guide-moi et aide-moi. » Plus tard, en rĂ©flĂ©chissant et en cherchant, j’ai compris que pour ĂȘtre efficace dans notre devoir, nous devons avoir de bonnes intentions, nous concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ©, et agir selon les principes. C’est seulement alors que nous pouvons recevoir la direction de Dieu, et amĂ©liorer continuellement nos rĂ©sultats. J’ai songĂ© Ă  ces paroles de Dieu Lorsque les gens acceptent une commission de Dieu, ils doivent d’abord comprendre la volontĂ© de Dieu pour pouvoir remplir leurs devoirs et accomplir leur mission. Il faut que tu saches que cette commission est venue de Dieu c’est Sa volontĂ© et tu dois l’accepter, en ĂȘtre conscient et, plus important encore, t’y soumettre. De plus, tu dois chercher des rĂ©ponses sur les vĂ©ritĂ©s qu’il faut que tu comprennes, sur les principes que tu dois respecter et sur la maniĂšre dont tu dois pratiquer, afin d’apporter un avantage aux Ă©lus de Dieu et au travail de la maison de Dieu lorsque tu accomplis ce devoir. Ce sont lĂ  les principes selon lesquels tu dois pratiquer. Une fois que tu as compris la volontĂ© de Dieu, tu ne dois pas perdre de temps Ă  chercher et Ă  essayer de comprendre les vĂ©ritĂ©s pour accomplir ce genre de devoir, et une fois que tu as compris ces vĂ©ritĂ©s, tu dois dĂ©terminer les principes et le chemin pour les mettre en pratique. À quoi les “principes” font-ils rĂ©fĂ©rence ? De façon spĂ©cifique, les principes font rĂ©fĂ©rence aux choses qui doivent ĂȘtre suivies pour atteindre les normes et les effets de la pratique de la vĂ©ritĂ©. Pour pratiquer la vĂ©ritĂ©, les gens doivent avoir saisi le principe le principe est la chose la plus cruciale et la plus fondamentale. Une fois que tu maĂźtrises les principes de base pour accomplir ton devoir, c’est la preuve que tu maĂźtrises les normes requises pour accomplir ce devoir, et maĂźtriser le principe Ă©quivaut Ă  ĂȘtre capable de mettre la vĂ©ritĂ© en pratique. Alors, sur quelle base repose cette capacitĂ© Ă  pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sur la comprĂ©hension de la volontĂ© de Dieu et sur la comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ©. Le simple fait d’ĂȘtre conscient de ce que Dieu demande revient-il Ă  comprendre la vĂ©ritĂ© ? Ce n’est pas le cas alors, quelle norme est requise pour que cela revienne Ă  comprendre la vĂ©ritĂ© ? Il faut que tu comprennes quelle sont la signification et la valeur de l’accomplissement de ton devoir comprendre ces deux choses, c’est comprendre la vĂ©ritĂ© de l’accomplissement de ton devoir. De plus, une fois que tu as compris la vĂ©ritĂ©, tu dois te familiariser avec les principes de l’accomplissement de ton devoir et avec le chemin de pratique. Si tu es capable de saisir et d’appliquer les principes pour accomplir ce devoir et que tu peux Ă©galement faire preuve de sagesse en cas de besoin, alors tu es assurĂ© d’ĂȘtre efficace dans l’accomplissement de ce devoir ; et quand tu saisiras le principe et feras les choses selon le principe, cela reviendra Ă  pratiquer la vĂ©ritĂ©. S’il n’est pas entachĂ© d’idĂ©es humaines, qu’il est exĂ©cutĂ© dans l’obĂ©issance absolue aux exigences de Dieu et conformĂ©ment aux arrangements de travail de la maison de Dieu, et qu’il est en plein accord avec les paroles de Dieu, alors l’accomplissement de ton devoir est entiĂšrement conforme aux normes, et mĂȘme s’il peut y avoir une certaine diffĂ©rence entre ton efficacitĂ© et ce que Dieu exige, cela comptera toujours comme rĂ©pondant aux exigences de Dieu. Si tu as accompli ton devoir en plein accord avec le principe et avec dĂ©votion, que tu y as consacrĂ© tous tes efforts, alors tu l’as accompli de façon pleinement conforme Ă  la volontĂ© de Dieu et tu es parvenu Ă  accomplir le devoir d’une crĂ©ature de Dieu de tout ton cƓur, de tout ton esprit et de toutes tes forces ce qui est l’effet obtenu en pratiquant la vĂ©ritĂ© » Ils essaient de rallier les gens Ă  leur cause », dans Exposer les antĂ©christs. Les paroles de Dieu Ă©taient trĂšs claires. Pour accepter la commission de Dieu, nous devons d’abord chercher Sa volontĂ©, chercher les principes de notre devoir dans lesquels nous devons entrer, comprendre la vĂ©ritĂ©, obĂ©ir Ă  Dieu, et suivre strictement les principes de la vĂ©ritĂ© dans notre devoir. Quand nous faisons notre devoir, nous devons aussi tenir compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, nous examiner nous-mĂȘmes souvent, et ne pas comploter pour notre profit personnel. Cela rĂ©duit l’adultĂ©ration de nos propres idĂ©es, et les erreurs que nous commettons dans nos devoirs. J’ai pensĂ© que j’avais agi uniquement par ambition et dĂ©sir dans mon devoir, que j’avais rarement cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ©, et que, mĂȘme quand j’avais acquis des connaissances, je n’avais pas obĂ©i. Il est essentiel que le personnel d’abreuvement soit capable d’échanger clairement sur la vĂ©ritĂ©, d’avoir de la patience et de se montrer responsable. SƓur Wu Ă©tait responsable dans son devoir, elle Ă©tait aimante et patiente avec les nouveaux venus. Quels que soient les Ă©tats ou les difficultĂ©s des nouveaux venus, elle pouvait Ă©changer activement et rĂ©soudre leurs problĂšmes, elle comprenait aussi certains principes de l’abreuvement des nouveaux venus. Dans le passĂ©, elle s’était montrĂ©e efficace dans son devoir, et elle ne commettait des erreurs maintenant qu’à cause de difficultĂ©s qu’elle ne parvenait pas Ă  gĂ©rer. Vu la situation, nous devions lui offrir Ă©change et aide, par amour, ou bien la traiter, l’émonder, l’exposer et la rĂ©primander, et non simplement la dĂ©mettre. De plus, quand j’avais vu que SƓur Chen Ă©tait enthousiaste et amicale en apparence, j’avais imaginĂ© qu’elle Ă©tait apte Ă  ĂȘtre cultivĂ©e, mais dĂ©sormais, je comprenais que ce n’était pas conforme aux principes. Les gens qui ont une mauvaise humanitĂ©, qui font le mal et perturbent le travail de la maison de Dieu, ne doivent pas ĂȘtre cultivĂ©s. SƓur Chen dĂ©sirait avec force la renommĂ©e et le statut, elle avait souvent luttĂ© pour les obtenir autrefois, et elle avait perturbĂ© le travail de l’Église. AprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©mise et isolĂ©e, elle n’avait jamais montrĂ© une comprĂ©hension authentique de ses transgressions. Elle suivait encore le mauvais chemin dans son devoir, et Ă©tait capable Ă  tout moment de perturber le travail de l’Église. On ne peut pas cibler les gens comme elle pour les cultiver sĂ©rieusement. J’ai vu que je ne connaissais pas les principes du renvoi et de l’utilisation des gens, et que j’agissais donc par ambition et par dĂ©sir, ce qui perturbait et entravait le travail de la maison de Dieu. Cela nuisait Ă©galement Ă  SƓur Chen, c’était dĂ©sastreux pour elle. Quand j’ai compris tout ça, j’ai remerciĂ© Dieu pour avoir arrangĂ© la lettre Ă©crite par mes frĂšres et sƓurs afin de me signaler et de m’exposer, ce qui m’avait empĂȘchĂ© de continuer Ă  suivre mon chemin malfaisant. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Dans la maison de Dieu, quoi que tu fasses, tu ne travailles pas Ă  ta propre entreprise il s’agit du travail de la maison de Dieu, il s’agit de l’Ɠuvre de Dieu. Tu dois constamment garder cette connaissance et cette perception Ă  l’esprit et dire “Ceci n’est pas une affaire qui m’est propre, je fais mon devoir et j’assume ma responsabilitĂ©. Je fais le travail de l’Église. C’est une tĂąche que Dieu m’a confiĂ©e et je la fais pour Lui. C’est mon devoir, et non ma propre affaire privĂ©e.” C’est la premiĂšre chose que les gens doivent comprendre. Si tu considĂšres un devoir comme ton affaire personnelle et que tu ne recherches pas les principes de la vĂ©ritĂ© lorsque tu agis, et que tu l’accomplis selon tes propres motivations, tes propres idĂ©es et ton propre dessein, alors tu commettras trĂšs probablement des erreurs. Comment, donc, dois-tu agir si tu fais une distinction trĂšs claire entre ton devoir et tes affaires personnelles et que tu es conscient qu’il s’agit d’un devoir ? En cherchant ce que Dieu demande et en cherchant des principes. C’est vrai. Si quelque chose t’arrive et que tu ne comprends pas la vĂ©ritĂ©, et que tu as une idĂ©e mais que les choses ne sont toujours pas claires pour toi, alors tu dois trouver un frĂšre ou une sƓur qui comprend la vĂ©ritĂ©, avec qui Ă©changer c’est la recherche de la vĂ©ritĂ©, et c’est avant tout l’attitude que tu dois avoir vis-Ă -vis de ton devoir. Tu ne dois pas dĂ©cider des choses en fonction de ce que tu penses ĂȘtre appropriĂ©, puis donner le coup de marteau et dire que l’affaire est classĂ©e cela mĂšne facilement Ă  des problĂšmes. Un devoir n’est pas ton affaire personnelle qu’elles soient majeures ou mineures, les affaires de la maison de Dieu ne sont l’affaire personnelle de personne. Tant que cela se rapporte au devoir, ce n’est pas ton affaire privĂ©e, ce n’est pas ton affaire personnelle il s’agit de la vĂ©ritĂ©, et il s’agit du principe. Alors, quelle est la premiĂšre chose que vous devez faire ? Vous devez rechercher la vĂ©ritĂ© et rechercher les principes. Et si vous ne comprenez pas la vĂ©ritĂ©, vous devez d’abord rechercher les principes ; si vous comprenez dĂ©jĂ  la vĂ©ritĂ©, identifier les principes sera facile » Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a donnĂ© un chemin de pratique. Les devoirs sont des commissions de Dieu, il ne s’agit pas d’affaires personnelles, nous ne pouvons donc pas les faire Ă  notre guise, pour satisfaire nos intĂ©rĂȘts personnels. En toutes choses, nous devons chercher les principes de la vĂ©ritĂ©, et pratiquer selon les exigences de Dieu. Quand vous ne comprenez pas, vous devez Ă©changer et chercher avec les autres. Quoi que les autres pensent, vous n’avez qu’à accepter l’examen de Dieu et faire de votre mieux. MĂȘme s’il y a parfois des erreurs dans votre travail, et si vous n’obtenez pas rapidement de bons rĂ©sultats, si vous faites les choses devant Dieu, et non pour que les autres le voient, vous suivez le bon chemin, et Dieu vous guidera et vous bĂ©nira. Plus tard, je me suis ouvert Ă  mes frĂšres et sƓurs au sujet de moi-mĂȘme j’ai exposĂ© comment j’avais fait mon devoir pour la rĂ©putation et le statut, mon dĂ©sir de rĂ©ussite rapide, mes violations du principe quand j’utilisais des gens, comment j’avais agi arbitrairement, et traitĂ© et rĂ©primandĂ© abusivement, ce qui leur avait fait du tort. Je leur ai prĂ©sentĂ© mes excuses solennelles, et je leur ai demandĂ© de me surveiller davantage. Quand j’ai pratiquĂ© de cette façon, mes frĂšres et sƓurs ne m’ont pas regardĂ© de haut, ils m’ont encouragĂ©, et dit que nous pouvions nous superviser les uns les autres et travailler ensemble pour bien faire nos devoirs. BientĂŽt, il s’est passĂ© autre chose la diaconesse d’évangĂ©lisation a Ă©tĂ© temporairement dans l’incapacitĂ© de faire son devoir, parce que sa famille l’en empĂȘchait. Apprendre cette nouvelle m’a rendu un peu nerveux. Je me suis dit Actuellement, les Églises font tout ce qu’elles peuvent pour prĂȘcher l’Évangile, donc, si la diaconesse d’évangĂ©lisation ne peut pas accomplir son devoir, cela va gravement affecter notre travail ! Si je ne la remplace pas Ă  temps, nos rĂ©sultats ne s’amĂ©lioreront jamais. Mes supĂ©rieurs vont forcĂ©ment penser que je suis incompĂ©tent, que je ne conviens pas Ă  ce poste. » Alors j’ai discutĂ© avec ma partenaire pour dĂ©cider s’il fallait transfĂ©rer cette diaconesse et trouver quelqu’un pour la remplacer. Ma partenaire m’a dit Cette diaconesse d’évangĂ©lisation s’est toujours montrĂ©e responsable et compĂ©tente, et son travail d’évangĂ©lisation donne de bons rĂ©sultats, si tu la transfĂšres simplement parce que, temporairement, elle ne peut pas gĂ©rer l’obstruction de sa famille, cela va Ă  l’encontre des principes. » Alors que j’allais dĂ©fendre ma position, je me suis souvenu tout d’un coup que j’avais remplacĂ© SƓur Wu par la force. N’étais-je pas de nouveau en train d’agir pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut ? Ma partenaire me rappelait que je devais accomplir mon devoir selon les principes, j’avais failli commettre une nouvelle faute grave. J’ai remerciĂ© Dieu dans mon cƓur, et j’ai dit Ă  ma partenaire Mes intentions sont erronĂ©es je veux transfĂ©rer cette diaconesse sans principes, pour protĂ©ger ma rĂ©putation. Elle est responsable, c’est une personne correcte. Si elle ne peut pas faire son travail en ce moment, nous n’avons qu’à prendre la relĂšve et nous charger du travail d’évangĂ©lisation. Informons-nous Ă©galement de sa situation et essayons de la soutenir et de l’aider. » AprĂšs m’avoir Ă©coutĂ©, ma partenaire a acquiescĂ©, et je me suis senti Ă  l’aise en pratiquant de cette façon. Ensuite, quand j’ai fait mon devoir, je me suis souvent demandĂ© Ai-je accompli mon devoir conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ© aujourd’hui ? Ai-je interagi avec les gens avec un tempĂ©rament corrompu ? » Si je faisais quelque chose qui n’était pas conforme aux principes, et Ă  la volontĂ© de Dieu, je priais Dieu de m’aider Ă  changer. En pratiquant ainsi, j’ai vu les bĂ©nĂ©dictions de Dieu, le travail de l’Église s’est amĂ©liorĂ©, et mes frĂšres et sƓurs ont pu accomplir activement leurs devoirs. Dieu soit louĂ© !
Quest ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir ?
Table des matiĂšres Qui est dotĂ© d'un esprit rĂ©flĂ©chi ? Quel est le contraire du mot rĂ©flĂ©chi ? Quels sont les deux sens du verbe rĂ©flĂ©chir ? Comment ĂȘtre une personne reflechie ? C'est quoi la spontanĂ©itĂ© ? Comment Appelle-t-on celui qui rĂ©flĂ©chit ? Comment Appelle-t-on quelqu'un qui rĂ©flĂ©chit avant d'agir ? Quelle est la diffĂ©rence entre penser et rĂ©flĂ©chir ? Qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir synonyme ? Comment devenir calme et silencieux ? Comment devenir une personne posĂ©e ? Comment faire pour ĂȘtre spontanĂ© ? Qui a un caractĂšre spontanĂ© ? Qui rĂ©flĂ©chit beaucoup ? Qui rĂ©flĂ©chit synonyme ? Comment on appelle quelqu'un qui pense beaucoup ? Comment Appelle-t-on une personne qui cache ses sentiments ? Qui est dotĂ© d'un esprit rĂ©flĂ©chi ? Être dotĂ© d'un esprit pĂ©nĂ©trant et rĂ©flĂ©chi, qui comprend rapidement et avec clairvoyance. Exemple Sherlock Holmes Ă©tait trĂšs perspicace. Étymologie du latin "perspicax" lui mĂȘme dĂ©rivĂ© de "perspicere" qui signifie voir Ă  travers, percevoir. Quel est le contraire du mot rĂ©flĂ©chi ? renvoyĂ©, en parlant d'un son, d'un rayon, etc. Quels sont les deux sens du verbe rĂ©flĂ©chir ? RĂ©flĂ©chir, au sens littĂ©ral, Ă©voque le fait de reflĂ©ter et renvoyer la lumiĂšre. Le sens s'est Ă©largi pour caractĂ©riser le fait d'utiliser et d'entraĂźner son raisonnement. Comment ĂȘtre une personne reflechie ? Restez calme. Cela pourrait ĂȘtre plus facile Ă  dire qu'Ă  faire, mais un des facteurs les plus importants Ă  prendre en compte pour rĂ©flĂ©chir est le calme et si possible, la solitude. DĂ©tendez-vous, asseyez-vous et prenez conscience de votre respiration tout en essayant de bloquer les distractions extĂ©rieures. C'est quoi la spontanĂ©itĂ© ? Se dit de quelqu'un qui obĂ©it Ă  ses premiĂšres impulsions, qui exprime sans dĂ©tour ce qu'il pense Un garçon trĂšs spontanĂ©. Comment Appelle-t-on celui qui rĂ©flĂ©chit ? rĂ©flĂ©chi adj. Comment Appelle-t-on quelqu'un qui rĂ©flĂ©chit avant d'agir ? ÉvaporĂ©s. Qui ne rĂ©flĂ©chissent pas avant d'agir. Quelle est la diffĂ©rence entre penser et rĂ©flĂ©chir ? RĂ©flĂ©chir, c'est travailler dans sa tĂȘte, essayer de trouver des solutions Ă  un problĂšme, ou faire du calcul mental. Cela prend gĂ©nĂ©ralement du temps. Par contre, penser, c'est lorsqu'une idĂ©e nous vient en tĂȘte; cette action ne nĂ©cessite pas forcĂ©ment un effort intellectuel. Qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir synonyme ? Autres synonymes possiblesSynonymeNombre de lettresTĂ©mĂ©ritĂ©8 lettresReflĂ©ter8 lettresMĂ©ninges8 lettresMurement8 lettres56 autres lignes Comment devenir calme et silencieux ? Essayez de ne pas ĂȘtre trop silencieux lorsque vous rencontrez quelqu'un pour la premiĂšre fois. Cette personne pourrait penser que vous ĂȘtes bizarre et que vous n'avez rien Ă  dire. Essayez plutĂŽt de trouver un Ă©quilibre pour Ă©couter cette personne et pour lui poser des questions Ă  son propos. Ne parlez pas inutilement. Comment devenir une personne posĂ©e ? C'est l'une des conditions sine qua non pour se sentir plus apaisĂ©e le bien-ĂȘtre. Alimentation Ă©quilibrĂ©e, pratique sportive rĂ©guliĂšre, sommeil, autant de paramĂštres Ă  ne pas nĂ©gliger lorsqu'on aspire Ă  un peu plus de sĂ©rĂ©nitĂ© personnelle. On se chouchoute et on pense Ă  soi. Comment faire pour ĂȘtre spontanĂ© ? 5 façons simples de devenir plus spontanĂ©Faite quelque chose sans trop y rĂ©flĂ©chir. La spontanĂ©itĂ© commence par lĂ . ... Passez du temps avec un enfant. Sortez de votre petit monde pour explorer celui des enfants. ... Remplacez la peur par l'instinct et la curiositĂ© ... Commencez petit. ... Attendez-vous au meilleur. Qui a un caractĂšre spontanĂ© ? CaractĂšre spontanĂ©, nature spontanĂ©e, CaractĂšre franc, ouvert, disposition Ă  agir avec Ă©lan, Ă  suivre le premier mouvement. SPONTANÉ se dit, en termes de Physiologie, des Mouvements qui s'exĂ©cutent d'eux-mĂȘmes ou sans cause extĂ©rieure apparente. Qui rĂ©flĂ©chit beaucoup ? Ceux qui rĂ©flĂ©chissent trop ont tendance Ă  tout analyser, mais aussi Ă  analyser les personnes avec qui ils sont. Soyez prĂȘte Ă  avoir une rĂ©ponse pour tout. Et soyez prĂȘte Ă  avoir parfois des conversations difficiles comme toutes les autres relations dans le monde. Surtout, vous devez ĂȘtre affectueuxse. Qui rĂ©flĂ©chit synonyme ? Synonymes de Comment on appelle quelqu'un qui pense beaucoup ? Le mot juste volubile, bavard, prolixe
 Comment Appelle-t-on une personne qui cache ses sentiments ? î Ź impassible. 1. Qui ne laisse pas voir son Ă©motion, ses sentiments, qui montre un calme imperturbable Rester impassible devant le danger.
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Maisqu'est-il arrivĂ© au visage de Zahia Dehar ? News, chirurgie . Ces filles auraient du rĂ©flĂ©chir avant de refaire leurs fesses. News, insolite . Elle dĂ©pense plus de 9000 euros pour avoir DĂ©finition DĂ©finition de rĂ©flĂ©chi ​​​ Votre navigateur ne prend pas en charge audio. , rĂ©flĂ©chie ​​​ Votre navigateur ne prend pas en charge audio. adjectif RenvoyĂ© par rĂ©flexion. Rayon rĂ©flĂ©chi. Grammaire Verbe pronominal rĂ©flĂ©chi, qui indique que l'action Ă©manant du sujet fait retour Ă  lui-mĂȘme ex. je me lave. Pronom rĂ©flĂ©chi pronom personnel reprĂ©sentant, en tant que complĂ©ment, la personne qui est sujet du verbe ex. je me suis trouvĂ© un appartement ; tu ne penses qu'Ă  toi. Qui a l'habitude de la rĂ©flexion ; qui marque de la rĂ©flexion. Un homme rĂ©flĂ©chi. ➙ pondĂ©rĂ©, prudent, raisonnable. Une dĂ©cision rĂ©flĂ©chie. ➙ dĂ©libĂ©rĂ©. locution Tout bien rĂ©flĂ©chi aprĂšs mĂ»re rĂ©flexion → tout bien pesĂ©. C'est tout rĂ©flĂ©chi ma dĂ©cision est prise. SynonymesSynonymes de rĂ©flĂ©chi, rĂ©flĂ©chie adjectifraisonnable, avisĂ©, calculĂ©, calme, circonspect, concentrĂ©, dĂ©libĂ©rĂ©, Ă©tudiĂ©, mesurĂ©, mĂ»r, mĂ»ri, pensĂ©, pesĂ©, pondĂ©rĂ©, posĂ©, prudent, raisonnĂ©, rassis, sage, sĂ©rieuxExemplesPhrases avec le mot rĂ©flĂ©chiUne autre chose enviable en lui c'est la fermetĂ© de ses admirations sa premiĂšre Ă©dition, en 2019, le festival a fait le choix d'une jauge rĂ©flĂ©chie, pour limiter le transport et la 07/08/2021Pour une femme, ce n'est pas un mince honneur que d'avoir Ă©tĂ© le premier miroir oĂč s'est rĂ©flĂ©chi dans ses faces multiples l'esprit d'une Bader 1840-1902VĂ©ritable investissement au mĂȘme titre que l'appareil lui-mĂȘme, le trĂ©pied est un outil indispensable dont l'achat doit ĂȘtre bien 27/01/2017, Le trĂ©pied photo »Le binĂŽme a aussi rĂ©flĂ©chi au travail des associations prĂ©sentes dans le monde et Ɠuvrant sans relĂąche pour les causes 30/06/2021Nous devons la promouvoir et en exploiter les ressources de maniĂšre rĂ©flĂ©chie et classe dehors est une pratique rĂ©flĂ©chie et organisĂ©e qui se dĂ©roule dans un milieu 11/12/2020 Ces exemples proviennent de sites partenaires externes. Ils sont sĂ©lectionnĂ©s automatiquement et ne font pas l’objet d’une relecture par les Ă©quipes du Robert. En savoir plus. MB0fXyv.
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