Rêverque vous voyez le président d’un organisme public , prédit vous chercherez élévation et d’être récompensé en recevant une position de confiance élevé . Pour voir une recherche de

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. La pluie, la grêle, la foudre même et tous les guerriers du Walhalla réunis n’auront pas réussi à empêcher François Hollande de débarquer à Berlin fringant comme à la rosée du matin et feindre de ne pas remarquer l’accueil de sous-préfecture qui lui était pouvait alors penser que, même si le calendrier européen et international a ses exigences, rien n’obligeait le Président de la République à peine investi à se précipiter toutes affaires cessantes en Allemagne pour ce qui aurait pu passer pour une forme d’allégeance. Au vu de l’attitude récente de la Chancelière, la courtoisie commandait plutôt qu’elle se déplace à Paris. L’amitié franco-allemande n’en aurait pas été froissée….Mais François Hollande est décidément un drôle de zig. Cet amoureux de football – et pas seulement du PSG - préfère débuter sur terrain adverse, parce qu’il sait que les buts marqués à l’extérieur comptent double et qu’un match nul y est déjà une victoire. Et là, devant Angela Merkel verrouillée comme une défense italienne des années 70, Hollande s’en est donné à cœur joie, déroulant son jeu – croissance, croissance, croissance – avec la même insolence que celle qu’il avait imposé à Sarkozy lors de leur débat tout va bien. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financières de La France insoumise Recommandés par nos abonnées

Cetteassistante comptable a remporté lundi 25 avril le salaire mensuel d’un président de la République, soit 15 200€. Ce matin, la Toulousaine se trouvait dans notre studio avec l’équipe de 100%, Clémence, Robin, Axel et le directeur général Jacques Iribarren pour récupérer ses gains, « j’étais trop contente quand vous m’avez appelé, pour moi ce n’était pas

Tweeter ce titre Je suis en train d’écouter [$1] sur [$2] ! Je suis en train d’écouter le podcast [$1] ! Je suis en train d’écouter l’extrait [$1] ! Emotion 80 Douce French Touch B Club 0928L'ENVIEJOHNNY HALLYDAY092209h00François0918MA BAKERBONEY M0914YOU GOT ITROY ORBISON091209h00François

Monsieurle Président de la République, Bonne et chaleureuse année à vous-même, à tous ceux qui vous sont chers, à vos collaborateurs. Que cette année 2016 soit pour les français et les françaises, ce « rêve d'avenir partagé » pour reprendre l'expression de Renan.
Forum / Psychologie J'ai rêvé qu'il Y avait une foule devant son domicile qui faisait des revendications. J'étais devant sa porte. Sa femme a été bousculée en essayant de se frayer un chemin. Elle arrive devant la porte et frappe. On lui ouvre. Je la soutiens car elle ne tiens pas debout. Je me souviens des rouge à lèvre que nous portions elle rose mat et moi orange. J'ai l'impression que nous nous reconnaissons par ce signe distinctif étrange!!!. On la fait entrer et du coup moi aussi. Je rencontre le président qui a l'air de s'ennuyer à cause de ces problèmes. J'ai l'impression qu'il regrette même cette prise de ne parle pas et suis inquiète car je crains de ne pas être à la hauteur pour communiquer avec lui. Tout est si calme, il est loin il y a des enfants, je m'approches d'euX et nous mettons à parler. C'est très Pouvez-vous m'aider A COMPRENDRE?bIZ Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. J'ai oublié de dire quej'avais l'impression que le président allait me nommer ministre et là je me posais des questions quant à la manière que j'allais C complet J'aime En réponse à angele102 J'ai oublié de dire quej'avais l'impression que le président allait me nommer ministre et là je me posais des questions quant à la manière que j'allais C completCarremen jme suis incri icii pour vous direg fais le meme reve !! repondez!!! merci zizou J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? Http// par contre j ai rêvé ke j étais ailleurs ça veut dire dans un autre pays pas le miens , je faisais du shopping et là tt d un coût le président entre dans le même magasin et achète des truc , je le voit a la caisse tt seul , bien habillé et moi je le regardé de dos jusk a ce k il se tourne et me regarde directement dans les yeux !! ca ma était étrange au début mais après je suis sorti du magasin je me suis dit peut être ke ces filles aiment bien ce magasin bref je me demande keske çà veut dire? ca signifie koi ?? J'aime Rêver du présidentBonjour je suis réalisateur et je fais en ce moment une série de petits films pour Arte qui mettent en images des récits de rêves de Français où apparait le président de la exemple ici vous de nous raconter votre rêve?mail president Thery 1 - J'aime Discussions du même auteur
Suivezl'actualité d'Emmanuel Macron, président de la République française : biographie, discours, déplacements, conférences de presse, annonces, Vivez l'info en live, en image et vidéos.
Sa Majesté , le Roi aperçu sur son jet-sky dans une mer bleue , tout bronzé , le torse musclé à eu tout le temps de réfléchir dans son Fort de Brégançon ,au calme, loin de tout , à son discours de il nous annoncer que l'on sache déjà? la crise énergétique, l'inflation, le retour de la covid., çà ne pouvait être qu'une mauvaise je suis lors de son intervention à la tv il a refait sa tête des mauvais jours."La même tête quand, il a annoncé "nous sommes en guerre contre la covid et lors de son intervention du 14 juillet, visage fermé, sinistre , parlant un homme de théatre , après tout!. Un air qui fait peur et qui annonce de futurs la phrase tant attendue fut prononcée;" Ceux et celles qui ont vécu des années d'abondance".Signification abondance" aisance procurée par des ressources importantes".Abondance pour qui,?certainement pas pour moi,ni pour cette petite dame âgée , rencontré ce matin au rayon "anti -gaspi qui tourne et retourne un morceau de fromage pour finalement le replacer dans le rayon, et m'annonçant 2e40 trop cher pour moi, et repart le cabas pas, ces 2 travailleurs réparant la chaussée sous un soleil de pas, cette longue file d'hommes âgés et de sdf attendant que l'équipe du Secours Populaire dispose ses étals pour la distribution d'1 pas, pour ces femmes qui attendent la fin du marché pour ramasser les invendusCertainement pas aux plus démunis invitées par l' église évangélique à grand renfort de musique et de chants et remerciant le Seigneur, à un immense barbecue , pendant 3 soleil a dû taper trop fort sur le crâne de sa majesté, lui provoquant des hallucinations où il s'est vu entouré de son peuple riche ,bien portant, sa seigneurie, revenait sur terre, vous avez 9 millions de pauvres , des travailleurs, des étudiants , des agriculteurs , etc etc .Donc, le mot "abondance," ne me concerne pas ne les concerne nous demandez donc de nous resserrer la ceinture , la mienne est déjà très resserrée et je ne peux faire plus et j'ose à peine imaginer ce qu'endurent les attendent certainement avec impatience la prime de 100e/50 par enfant versée en en profitent pleinement , car si j'ai bien compris, la source est tarie et la suite ce sera ""système débrouille.""Mais , n'oubliez pas ""Mon bon roi"" que Noel arrivera très vite que vos petits sujets ont besoin de cadeaux , on doit voir leurs visages s 'illuminés .Ils ont besoin de rêver, ils ne sont pas responsables des problèmes que rencontre votre vous prévu? En cas de besoins financiers , vos amis du cac 40 pourraient -ils faire un geste ?, gracieusement,, d'abord ce sera une bonne action et ils auront la conscience tranquille et cela ne devrait pas trop entamer leur"" IMMENSE FORTUNE.""Pour ma part, je peux vous suggérer cette idée. "" La prime de Noel"" versée aux bénéficiaires des minimas sociaux rsa , ass, etc pourrait être élargie à un plus grand public à toutes les familles, celles qui travaillent et perçoivent des petits salaires .Vous verrez mon bon roi, vos sujets seront"" HEUREUX"" en ce beaux oublieront brièvement leurs problèmes.
Lettreau président de la République. Voici une lettre adressée en son temps au Président Macron lors du Grand Débat mais je n’ai jamais reçu de réponse. Faut pas rêver, il
AccueilNews Société Des populations saluent les actions de développement du président de la République Société Publié le dimanche 29 août 2021 AIP Dimbokro– Par la voix du président de la mutuelle de développement économique et social de Djangokro MUESDJAN, Koffi Mathieu, les populations de cette localité ont salué, samedi 28 août 2021, le président de la République pour ses actions de développement en faveur du N'zi et singulièrement de leur sous-préfecture, lors d'une cérémonie de fête de mères décalée et d'installation des comités villageois de développement CVD initiée dans la localité par le conseil Koffi a affirmé que de nombreux projets de développement réalisées dans la région et à Djangokro impactent positivement la vie quotidienne des populations, énumérant notamment le bitumage des voies Dimbokro-Bocanda et Bocanda-Kouassikouassikro, l'électrification de nombreux villages, l'adduction en eau potable, la construction de centre de santé et d'écoles sans oublier le démarrage du bitumage des rues de la ville de président du conseil régional, Koffi N’guessan Lataille, par ailleurs secrétaire d’Etat en charge du Logement Social, a invité tous les cadres de la région à l’union, socle du développement. Il a exhorté les populations à soutenir le président Ouattara qui, par "sa vision, sa clairvoyance et son leadership apporte chaque jour, une amélioration aux conditions des parents".En moins d’une décennie, le Président de la République, Alassane Ouattara, a transformé la Côte d’Ivoire qui était en ruine, en un pays qui fait rêver. Nous devons l’accompagner pour que notre région continue de faire ce pas de géant qu’il attendait depuis des lustres et qui a commencé dans tous les secteurs », a conclu, le président Réagir à cet article
Manquede subventions. Par ailleurs, 5,8 millions de prises sont actuellement raccordées sur un total de 15,6 millions, soit un taux de 37% « qui fait rêver » le président d’Infranum.
En Côte d’Ivoire, nul ne sait comment il va falloir s’y prendre pour sortir de la crise. Le camp du président sortant reste sourd à tous les appels à la raison. Dans le cas présent, la mauvaise foi et l’entêtement de Laurent Gbagbo et de ses partisans vont au-delà de l’une et de l’autre, au point que ce pays est dans une situation qu’aucun adjectif ne suffit à qualifier simplement. Tout semble avoir été tenté sur le plan intérieur, un appel aux fonctionnaires civils et militaires pour qu’ils se rangent dans la légalité du président légitime, puis un autre plus particulièrement destiné aux chefs des forces armées pour qu’ils redeviennent loyalistes, puis une tentative de mobilisation populaire pour occuper pacifiquement le siège de la radio-télévision. On sait ce qu’il en est advenu des dizaines de morts. Rien n’y fait. Mais il existe peut-être une fenêtre de tir qui pourrait du moins ébranler la détermination de l’ancien chef de l’Etat et de son entourage le recours à ceux que, dans un étonnant rapport de dominé à dominant, ils continuent à appeler "chers maîtres". Il s’agit de tous les collègues universitaires, chercheurs, intellectuels français auprès desquels M. Gbagbo lui-même et nombre de ses partisans ont vécu et travaillé, du temps où ils étaient étudiants, doctorants, voire enseignants à leurs côtés ou coauteurs de leurs ouvrages. En effet, et quel que soit le niveau de rejet de la France exprimé par le camp de l’ex-chef de l’Etat, c’est bien par nos écoles et nos établissements supérieurs que sont passés la plupart des protagonistes de la crise. Au point qu’on se demande parfois comment l’université française en est arrivée à former des tyrans. La liste est longue, mais on peut faire court. Laurent Gbagbo a soutenu une thèse de doctorat d’histoire à la Sorbonne avec une grande – et progressiste – historienne française, qu’il a d’ailleurs décorée il y a quelques semaines en souvenir de cette collaboration. Son premier ministre, Aké Gilbert Marie N’Gbo, par ailleurs président de l’université d’Abidjan-Cocody, a obtenu son doctorat de sciences économiques à l’université de Toulouse. Son ministre des affaires étrangères, Alcide Djédjé, ancien ambassadeur de la Côte d’Ivoire auprès de l’ONU, est diplômé de l’Institut d’études politiques de Lyon. Le ministre des mines et de l’énergie, Augustin Kouadio Comoë, est sorti de l’Ecole nationale de la santé publique de Rennes et a obtenu un DESS à l’université Paris-XI. La ministre de l’éducation nationale, Jacqueline Lohoués Oblé, par ailleurs enseignante à l’Université privée de l’Atlantique à Abidjan, a obtenu son agrégation de droit à Lyon. La ministre de l’enseignement technique, Angèle Gnonsoa, a fait des études d’histoire à Paris. Quant au ministre de la culture, Alphonse Voho Sahi, ancien conseiller spécial de Laurent Gbagbo, il a bénéficié pour son dernier ouvrage 2009 d’une préface signée par un ancien chargé de cours, qui a enseigné à Sciences Po Paris. Parmi ceux qui ne sont pas ministres, mais qui sont néanmoins très influents du mauvais côté du bras de fer actuel, il y a naturellement celui qui non seulement a été formé en France mais a également enseigné dans nos établissements supérieurs, chantre du libéralisme économique tout en étant membre du Parti socialiste FPI de Laurent Gbagbo et président de l’Assemblée nationale Mamadou Koulibaly, agrégé d’économie à l’université d’Aix-Marseille, et familier de l’université de Versailles-Saint-Quentin. A côté, il y a le président du FPI, Pascal Affi Nguessan, frappé par les sanctions, qui affiche un diplôme d’ingénieur des télécommunications de l’INT d’Evry. Enfin, le désormais célèbre président du Conseil constitutionnel Paul Yao N’Dré a également appris dans nos universités – à Nice – le droit qu’il met en pratique aujourd’hui au service de Laurent Gbagbo. A ce sujet, ses anciens maîtres sont-ils fiers de la manière dont il a interprété l’article 64 du code électoral ? L’UNIVERSITÉ FRANÇAISE A FAILLI L’idée de demander à chacun de nos collègues français d’intervenir individuellement et personnellement auprès des anciens élèves concernés, en leur rappelant les valeurs qu’ils partageaient autrefois, et souvent avec ferveur, c’est-à-dire l’humanisme, la tolérance, la bonne foi, le respect de la démocratie et des droits de l’homme, la liberté d’expression notamment de la presse, pourrait être pertinente. Surtout lorsque la Côte d’Ivoire se singularise à ce point en bafouant, parfois gravement, tous ces beaux principes la radio-télévision nationale bascule dans Radio Mille-Collines, les Escadrons de la mort ont été réactivés et tuent chaque nuit, un charnier a été découvert et camouflé au lendemain de la dernière manifestation pro-Ouattara… Il est vrai que cette initiative a des relents de colonialisme et de paternalisme sur lesquels il est facile à un esprit mal intentionné de surfer. Mais lorsque l’historien Laurent Gbagbo ne cesse d’affirmer qu’il a reçu son pouvoir de Dieu et que Dieu seul le lui reprendra, inventant par là même le nouveau concept de République de droit divin, on doit se rendre à l’évidence l’université française a failli. Christian Bouquet, professeur de géographie politique à l’université Bordeaux-III Article paru dans l’édition du Le Monde BERNARD KOUCHNER Un humanitaire pas si désintéressé MORALITE AU SOMMET DE L’ETAT L’Afrique devrait ... Et si Dieu n’aimait pas les Noirs ? » Serge Bilé ... DESTITUTION DU MAIRE DE TANA Quelle destination pour ... Union Africaine Où va nous conduire ce guide » ... Session spéciale de l’Union Africaine Une étape vers ... Actualité africaine Les fables politiques malgache et ... ETATS-UNIS D’AFRIQUE Faut-il continuer à rêver ... Migration clandestine 24 Burkinabè expulsés de la ... TROUBLES A MADAGASCAR Les ambitions d’un maire ... Tchad/Soudan L’éternel retour Côte d’Ivoire Le départ des forces étrangères sur le ... 12 Sommet de l’Union Africaine les Ministres en charge ... Madagascar Le pire est à craindre ACCUSATIONS CONTRE MACKY SALL Wade dans son sport ... TRANSPORT EN COTE D’IVOIRE Un enjeu électoral Madagascar Répétition générale de l’histoire sur la ... ELECTIONS EN COTE D’IVOIRE Pourquoi ça coince Mamadou Dia Le poil à gratter de Senghor s’en est ... Présidentielle en Mauritanie Aziz, il faut être sérieux ... RDCONGO/RWANDA Les mystères d’une réconciliation
Républigramest un générateur de mème. Né à la suite d’une campagne de communication du président de la République, il est devenu un nid à détournements et interroge sur la Last updated Août 23, 2022 Nommé le samedi 20 août 2022 par le Président de la Transition, le Colonel Mamadi Doumbouya, Aly Seydouba Soumah est le nouveau ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures. Agé de 48 ans, le tout nouveau chef du département en charge de l’Énergie et des Hydrocarbures est un technicien chevronné, un fiscaliste et un analyste financier, dont les compétences se sont accrues au fil des années de formations, de voyages, de contacts et de travaux effectués. Après de brillantes études primaires, le jeune Aly Seydouba Soumah décroche ses Baccalauréats première et deuxième parties en 1992 et 1993 à Conakry, au Lycée Donka, dans la Commune de Dixinn. De là, il obtient son Diplôme d’Études Universitaires Générales en Économie avant de décrocher la Licence, le Diplôme d’Études Supérieures en Comptabilité et Gestion à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry entre 1995 et 1999. Ce cadre diplômé, pétri de talents et intellectuellement dense rafle, au Centre National de Formation et de Perfectionnement Professionnel, à Conakry, une autre distinction en 2002. Cette fois-ci au compte du cycle de formation initiale des lauréats de 2000 sur les Finances Publiques et la Rédaction administrative. Le précieux sésame détenu, le jeune gestionnaire comptable commence à rêver grand. Ainsi, il part à la conquête de l’expertise à l’Institut Supérieur de Management ISM de Dakar, au Sénégal où il décroche d’abord avec brio un Master 2, en 2016, en Expertise et Conseil Fiscal, avec pour thème de mémoire l’élargissement de la stratégie fiscale au secteur informel en République de Guinée ». Ensuite, en 2017, Aly Seydouba Soumah, dans le sillage de l’élargissement de l’horizon de ses connaissances, profite de son séjour dakarois pour empocher un autre Master 2 en Ingénierie Financière sur le thème Système Fiscal guinéen-Diagnostic et défis pour un développement durable. De Dakar, direction le Canada où il décroche un MBA dans la filière Maîtrise en Gestion des Organisations » en 2018. La fiscalité, la comptabilité et les finances n’ayant plus de secret pour lui, il parcourt d’autres pays comme le Maroc, le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, l’Italie, dans le cadre des rencontres d’échanges et de partage d’expériences. Auditeur de 1999 à 2001 au Cabinet d’Expertise Comptable et Commissariat aux Comptes Tafsir Audit et Conseils , il officie comme Auditeur Interne du 1er février au 31 août 2001 pour le Programme Intégré pour le Développement des Entreprises PRIDE-Finances . Occupant le poste de Chef de Section Comptabilité et Finances du 1er septembre 2001 au 28 février 2004, au compte du Projet d’Appui au Développement rural en Basse Guinée, il est nommé Chef de Brigade, Section Prestation de Services de 2016 à 2021. À ce poste, il se charge de la vérification générale de la Comptabilité des grandes entreprises comme Anglogold Ashanti de Guinée SAG, la Société Navale de Guinée, Ecobank, la CBG, UGAR, Port Autonome de Conakry, Mouna Group Technology, Bolloré Africa Logistic. Depuis 2021, Aly Seydouba Soumah est chef de Section Commerce-Vérification de la Comptabilité à la Direction Nationale des Impôts. Poste qu’il occupe jusqu’à sa nomination au poste de ministre de l’Énergie, de l’Hydraulique et des Hydrocarbures. Une consécration pour ce cadre rompu à la tâche, un sens élevé du casting pour le président de la transition, le Colonel Mamadi Doumbouya qui veut ainsi bâtir une équipe de choc autour du tout nouveau Premier ministre, dans le dessein manifeste de faire de la refondation de l’État, une réalité en Guinée. DCI PRG Ala question de savoir si la V e République peut y résister, deux candidats répondent par la négative : Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon. La VI e République est la principale promesse du
La première organisation politico-militaire tchadienne est le Front de Libération Nationale du Tchad, crée en 1966 sur l’initiative du feu Ibrahim Abatcha. En 1968, suite aux dissensions intervenues au sein du FROLINAT, d’autres groupes armés ont vu le jour. Plus tard, après la guerre civile des années 1979-1980, d’autres mouvements politico-militaires sont apparus, lors des rencontres de réconciliation nationale tenues au Nigeria. Ainsi ā Lagos, les leaders de ces organisations ont manifesté leur désir de se regrouper au sein d’un Gouvernement d’Union Nationale de Transition/GUNT, placé sous la direction du président Goukouni Weddeye. Mais dans la gestion pratique du pouvoir politique, ces leaders et chefs de tendance politico-militaires n’ont malheureusement pas démontré leur capacité de travailler ensemble pour sauver le pays et épargner les populations tchadiennes des conflits armés. Aujourd’hui, soit plus de vingt-cinq ans après, quelle est la situation des organisations politico-militaires tchadiennes ? En fait, combien sont-elles réellement ? Quelle stratégie adoptent-elles face au pouvoir de NDjaména ? Quelle alternative proposent-elles au peuple tchadien? Leurs leaders ont-ils encore la volonté et la capacité de prendre le pouvoir? Seront-ils en mesure de gouverner un jour le pays, sans tomber dans les travers de leurs intérêts personnels ? Bref, pourrons-t-ils sauver le Tchad ? La prise de pouvoir par les armes est-elle encore possible ou du moins acceptée dans le contexte international actuel ? La Constitution tchadienne issue de la Conférence Nationale Souveraine et adoptée par référendum, interdit toute prise de pouvoir par les armes et suggère la désobéissance pacifique des tchadiens, au cas où cela se produirait. Alors, quelle autre alternative serait-t-elle possible ? Ces Organisations politico-militaires pourront-elles s’engager à participer aux prochaines élections présidentielles et législatives ? Mais avant cela, peuvent-elles adopter ensemble et proposer une plateforme réaliste de négociation politique sérieuse avec le gouvernement tchadien ? Auront-elles le temps nécessaire de le faire ou le voudront-elles ? Le régime actuel de NDjaména accepterait-il de telle initiative ou démarche ? L’intérêt supérieur la nation tchadienne ne mérite-t-il pas que les protagonistes et adversaires tchadiens ne trouvent enfin une issue politique consensuelle ? Cela éviterait ă nos populations d’interminables conflits qui deviennent un réel obstacle du développement économique et social du pays. Certes, il n’est pas question de procéder ici ă une classification rétrospective de ces organisations, moins encore de développer l’historique de leurs activités. Et comme, nous n’avons pas de préférence particulière pour tel Mouvement ou Organisation par rapport ă tel autre, cela nous permet d’aborder cette réflexion sans préjugé, ni jugement de valeur et de présenter notre opinion de manière simple sur cette question assez sensible et délicate. Peut-on savoir, si les organisations politico-militaires tchadiennes existent encore ? Depuis un certain temps, il n’y a pas d’échos majeurs de leurs activités militaires sur le terrain. Auparavant, il y avait quelques tentatives de regroupement et de réunion par-ci et par-lă. En fait, depuis la création du Frolinat aujourd’hui placé sous la direction du président Goukouni Weddeye, jusqu’ā nos jours, il y avait plusieurs mouvements ou groupes politico-militaires. Certains sont anciens et d’autres de création récente. Compte tenu de la confusion même de leur Statut et surtout de leurs activités, il n’est pas facile de les identifier tous. Mais on peut citer quelques-uns uns comme, le CDR d’Acheikh Ibn Oumar, le MDD de Brahim Malllah, le MDJT du feu Youssouf Togoïmi, le CSNPD du feu Ketté Moise, le FDP du Dr. Nahor Mahmoud, les FARF du feu Laokein Bardé, le FNTR de Mahamat Moussa, le FPRN de Alio Abdoulaye, le RAFAT de Adoum Moussa Seif, le MUR de Gaillet Bourkoumandah ou encore la CDDC de Hassaballah Soubiane, énumération relative n’est pas exhaustive. Qu’elles soient divergentes ou semblables, certaines avaient réussi à constituer des alliances pour mener ensemble des actions communes. Ainsi les conclaves de leurs réunions avaient abouti ā des regroupements tels, le Front Uni pour le Développement et le Progrès/FUDP ou encore l’Union des Forces pour le Changement/UFC. Mais les activités réellement connues de ces regroupements se limitent généralement ā des publications communes des Communiqués de presse. Ainsi, les leaders de ces organisations, résident à l’extérieur et circulent un peu partout en Afrique, en Europe, aux États-Unis et au Canada. Certains sont mêmes poursuivis en justice, mais ils prennent le chemin de l’exil sous le couvert de l’opposition politique. Quelques rares parmi eux, semblent déterminés et engagés ă apporter un réel changement du système politique tchadien. Alors que les autres, en nombre de plus en plus croissant et souvent de moralité douteuse, se distinguent surtout par leur opportunisme de politique politicienne et sèment parfois, la confusion au sein de l’Opposition politico-militaire. Néanmoins, tous ces Groupes, Mouvements ou Organisations politico-militaires suivent activement l’évolution politique du Tchad et tentent d’influencer le cours de son histoire politique contemporaine. S’agissant de leurs activités opérationnelles, on peut noter - Certains comme le MDJT, semblent avoir des combattants armés sur le terrain et continuent de temps ă autre ă mener des offensives militaires sporadiques contre les forces gouvernementales, dans les régions Nord du pays. Mais depuis le décès de leur chef, feu Youssouf Togoïmi et avec le départ de certains de leurs dirigeants, leurs actions militaires restent limitées. Aussi, la composition tribale de leur organisation, et l’éloignement de leur zone d’opérations par rapport ā la capitale tchadienne où s’exerce la réalité du pouvoir politique, constituent un de leurs grands handicapes. - D’autres comme le du feu Bâchar transformé en FNTR, faute de combattants sur le terrain ou encore par simple choix volontaire inspiré de la“real politic”, ont abandonné la lutte armée et la prise de pouvoir par les armes. Leurs dirigeants ont décidé de continuer la lutte politique de manière pacifique, tout en utilisant des méthodes modernes de communication avec leur site web, Al Wihdah. Le Web Site est certes un outil important, mais faut-il encore présenter des informations objectives pour être crédible devant l’opinion publique nationale et internationale. S’il faut s’en servir seulement comme un moyen de propagande politicienne et de désinformation, cela n’améliorerait pas la situation des peuples du Tchad. - D’autres organisations, regroupant quelques membres de la diaspora tchadienne, se sont transformées en partis politiques en exil. Celles-ci pourraient avoir peut-être quelques sympathisants à l’intérieur du pays, mais n’ont pas d’implantation des cellules locales, ni de réelles activités sur le terrain. En effet, leur activisme n’a pas grand impact sur les populations tchadiennes. - Aussi, il y a d’autres organisations qui sont restées hybrides, c’est-à -dire se considérant parfois comme de groupes ou mouvements politico-militaires et parfois comme des partis politiques, du fait qu’elles n’ont pas assez ou pas du tout des troupes sur le terrain, ni suffisamment des militants de base sur le territoire national. En effet, leur activisme n’a pas d’effet sur la grande masse des populations tchadiennes souvent indifférentes. - Parmi ces dernières, en cas de difficulté d’existence, certaines essaient d’impressionner le régime en place au Tchad, pour avoir une porte de sortie honorable et composer avec le pouvoir de NDjaména. D’autres par contre, malgré la dissidence de certains de leurs membres, persistent et continuent ă résister pour aboutir un jour ă un changement radical ou du moins profond de l’actuel régime politique du Tchad. Certes, il n’est pas interdit de rêver en politique... -Il y a également quelques mouvements ou organisations dont les dirigeants ne trouvent leur salut qu’en résidant de manière permanente à l’étranger pour le besoin de leur cause, souvent inavouée ou exprimée de manière confuse et contradictoire. Ces Âéternels opposants» se considérant eux-mêmes comme Âdes purs et durs», font de l’opposition politico-militaire, un outil de marchandage pour ne pas dire Âmendicité» auprès de certains officiels, ministres, ou chefs d’Etat des pays amis du Tchad. - Enfin, il y’a des mouvements qui n’existent que de nom et dont les dirigeants en quête d’audience politique, tentent d’impressionner l’opinion nationale et internationale par la publication des communiqués et décisions de nomination de leurs représentants, dont ils ne les connaissent que superficiellement et n’ont aucun contrôle. Ils préparent avec tapage des réunions dites de  concertation générale en vue d’adopter une plate-forme commune de l’ensemble de l’opposition tchadienne », mais n’aboutissent ă rien de sérieux et crédible. Pire encore, faute d’argumentations politiques convaincantes ou par incapacité de présenter une analyse profonde et claire de la situation du pays, ils se démarquent souvent par des diatribes stériles, contre le président Idriss Déby. Ces nouveaux politiciens, qualifiés par certains tchadiens  d’arrivistes », en tentant de se hisser au plus vite possible par rapport aux autres opposants tchadiens, s’en prennent parfois maladroitement ă d’autres leaders de l’opposition politique opérant ă l’intérieur du pays de manière pacifique, ou même contre tel autre chef politico-militaire qui semble leur porter ombrage. Face ă de telle situation que pourrait-on encore espérer des mouvements et organisations politico-militaires ? Depuis combien de temps les populations civiles tchadiennes ont fait recours ă la lutte armée ? Pourquoi certains ont-ils opté pour la prise de pouvoir par les armes ? Les victoires militaires n’ont jamais apporté de solution définitive aux conflits du Tchad, moins encore de paix réelle aux populations tchadiennes. Et malgré les multiples interventions des forces étrangères françaises et libyennes aux côtés des forces gouvernementales tchadiennes, cela n’a pas éradiqué la rébellion armée, moins encore rétablir la paix définitive et la sécurité dans le pays. Combien de perte de vies humaines notre pays a-t-il connues? Les leaders et dirigeants politiques actuels, de l’Opposition ou du Pouvoir en place ă Ndjaména, ont-ils évalué les conséquences des affrontements armés dans notre pays ? Les responsables politiques de tous les régimes qui se sont succédés depuis l’accession de notre pays ă l’indépendance, ont-ils tiré les leçons de leur expérience politique passée ? Ont-ils vraiment expliqué ă l’élite politique actuelle, la nécessité de bâtir un Etat viable basé sur le respect des libertés et droits fondamentaux des tchadiens? Pour régler aujourd’hui nos différends politiques qui sont certes surmontables, n’est-il pas enfin temps d’amorcer l’approche de négociation pacifique sérieuse et non de simple ralliement nous conduisant de facto au parti unique, méthode politique anachronique déjă révolue des périodes des anciennes dictatures africaines.  Les premières émeutes populaires des années 1963 ă Fort-Lamy actuelle NDjaména ne découlent-elles pas de l’interdiction du multipartisme par le feu président François/NGarta Tombalbaye et de l’instauration du parti unique, le PPT-RDA? La création de la première organisation politico-militaire, le Frolinat en 1966, n’est-elle pas une réaction contre les exactions des forces gouvernementales sur les populations civiles ? Le retard actuel de notre pays par rapport aux Etats de la sous région dans le continent, serait-il pas en partie dŠā nos interminables conflits politiques et affrontements armés? La lutte armée serait-elle plus efficace que la confrontation pacifique de politique partisanne ? En conformité avec le contexte international de l’époque, et suite au renversement du régime dictatorial du président Hissein Habré, le multipartisme a été solennellement réintroduit au Tchad depuis 1990 par le président Idriss Déby. Aucun tchadien ne s’est opposé ă sa restauration, même les mouvements politico-militaires. Alors, pourquoi ne pas participer ă sa consolidation afin de bâtir des institutions étatiques crédibles dans notre pays ? La volonté politique des leaders et gouvernants au pouvoir semblait parfois faire défaut. En effet, cette volonté politique devrait accompagner les déclarations et décisions publiques. Mais faut-il encore que nos cadres et élites intellectuels chargés de son exécution l’appliquent de manière sérieuse et sans complaisance. Cela devrait se faire dans la gestion quotidienne des affaires publiques et surtout dans l’organisation, le déroulement et le suivi des opérations électorales aux niveaux locales, et nationales. Ainsi de là , résulterons des institutions fiables qui nous éviterait les multiples recours à la lutte armée, mais ne génerait pas les contestations politiques intempestives qui sont parfois nécessaires à l’évolution de la dialectique démocratique. Le drame du peuple tchadien est que la plus part des dirigeants politico-militaires, certains de nos leaders politiques et beaucoup même de nos cadres et intellectuels, n’ont d’autres objectifs que de préserver leurs intérêts personnels. La défense de leur région vient souvent avant les préoccupations nationales et d’intérêt général. La situation des organisations politico-militaires est complexe, mais elle ne doit pas faire obstruction à l’évolution du développement économique et social du pays. Les mouvements politico-militaires doivent comprendre l’évidence que la prise de pouvoir par les armes est aujourd’hui révolue. S’ils transforment leurs organisations en partis politiques de l’Opposition, cela serait salutaire pour les Tchadiens. Mais faut-il encore être en mesure de dégager de réelle stratégie de lutte pour la prise de pouvoir de manière légale et pacifique. Certains vont évoquer sûrement les problèmes de fraudes électorales, mais le vrai enjeu dans toute élection, peut se résumer en deux points importants -D’abord, la crédibilité des candidats eux-mêmes, c’est ce qui fait réellement défaut chez nos politico-militaires, car ils se sont presque tous discrédités devant l’opinion publique nationale et n’arrivent plus ā convaincre les populations tchadiennes du bien fondé de leurs actions militaires ou politiques. - Avoir la capacité de mettre en place des structures politiques ā dimension nationale, qui peuvent couvrir et suivre l’organisation et le déroulement des opérations électorales sur l’ensemble du pays. Là -aussi, vu les stratégies et calculs régionalistes ou tribaux de nos leaders politico-militaires, leurs succès au niveau national semblerait hypothétiques, pour ne pas dire, serait aussi un fiasco comme dans leurs activités militaires. La lutte politico-militaire est certes difficile et longue dans un pays comme le Tchad. Mais, la confrontation de politique partisane n’est pas aussi simple, ni donné ā tout le monde, moins encore aux aventuristes. Après une profonde observation des acteurs et leaders politico-militaires, des enjeux qui les motivent et surtout des stratégies mises en place, il serait utile de rappeler à ces frères, qu’il est temps de cesser de perdre le temps et d’entamer courageusement une nouvelle phase réaliste de la vie politique tchadienne. Cela épargnerait á notre pays surtout la perte d’autres vies humaines. Mais aussi, c’est par un réel changement de méthode de gouvernance que le pourvoir de N’Djaména pourrait convaincre nos frères politico-militaires à participer au dialogue ouvert et ā la reconstruction du pays afin d’assurer l’épanouissement des populations tchadiennes. Ainsi, nous espérons que cette réflexion sur les politico-militaires pourrait nous amener tous à réfléchir d’avantage et d’œuvrer ensemble pour bâtir enfin un Etat uni et crédible où toutes les sensibilités politiques pourrons s’exprimer dans le respect des droits et libertés fondamentales, en vue d’une alternance démocratique pacifique. Dr. Hassane Mayo-Abakaka
Toujourspour 2013, la présidence de la République a utilisé l'Airbus présidentiel 243 heures, les Falcon 323 heures, et les Super Puma 3 heures. Malgré les sarcasmes de la gauche lorsque

La Montagne, journal fondé en 1919 par Alexandre Varenne, fêtera son centième anniversaire ce vendredi 4 octobre. Le président de la République Emmanuel Macron a officialisé, ce lundi, dans son agenda un déplacement à Clermont-Ferrand pour participer aux célébrations de ce centenaire. Après sa visite dans le Puy-de-Dôme en janvier 2018, Emmanuel Macron fera donc un deuxième déplacement dans le département en qualité de président de la République alors qu'il était venu en janvier 2017 pour un meeting lorsqu'il était candidat aux élections présidentielles. Macron sur les pas de Mitterrand au lac Chauvet Ce vendredi 4 octobre 2019, Emmanuel Macron est attendu au siège de La Montagne, à Clermont-Ferrand. Les festivités du centenaire du journal sont placées sous le haut patronage du président de la République. Paru pour la première fois le 4 octobre 1919, La Montagne fête cette année son centenaire. Emmanuel Macron a préfacé le livre paru à l'occasion du centenaire du quotidien, "La Montagne, 100 ans, 100 Unes, 100 plumes", déclarant notamment "Jamais La Montagne ne s'est détournée de l'objectif qui lui avait assigné son fondateur celui de travailler au bien public". Un siècle de Unes pour raconter les 100 ans de La Montagne Gilles Lalloz

QHoFvyu.
  • h9y24shdiw.pages.dev/327
  • h9y24shdiw.pages.dev/385
  • h9y24shdiw.pages.dev/76
  • h9y24shdiw.pages.dev/383
  • h9y24shdiw.pages.dev/410
  • h9y24shdiw.pages.dev/381
  • h9y24shdiw.pages.dev/429
  • h9y24shdiw.pages.dev/221
  • rever du president de la republique