Desvilles sous l'eau, des "oceanscraper" à la place des "skyscraper", des jardins habités par des orques et des baleines La ville de demain, l'architecte
Comment Ă©valuer une maquette ? Le travail peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© en Accompagnement personnalisĂ© AP ou en Enseignement Pratique Interdisciplinaire EPI. Il est le fruit d’un travail de groupe et a pour but d’apprendre autrement. L’élĂšve est confrontĂ© Ă  une tĂąche complexe, il doit dresser des hypothĂšses, faire des choix, chercher des solutions. La mutualisation est essentielle et dans ce type de travaux, certains s’investissent davantage, mais chacun doit participer un tableau Qui a fait quoi » ? permet de rappeler l’importance du travail collaboratif. Dans ce type de travail, l’hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© est un atout, et tous peuvent exceller, car nous sortons du cadre scolaire pour emprunter des chemins de traverse. Il revient au professeur d’insister sur la nĂ©cessitĂ© d’utiliser les ressources disponibles, les matĂ©riaux de rĂ©cupĂ©ration. En amont, le travail est padlets., des liens sont proposĂ©s, lĂ  ! Les travaux seront exposĂ©s au CDI de l’établissement. Vous souhaitez lire la suite ? Actifs dans le dĂ©bat public sur l'enseignement de nos disciplines et de nos pratiques pĂ©dagogiques, nous cherchons Ă  proposer des services multiples, Ă  commencer par une maintenance professionnelle de nos sites. AdhĂ©rer aux Clionautes pour accĂ©der aux ressources disponibles dans l'espace rĂ©servĂ© ne se limite pas Ă  un simple rĂ©flexe consumĂ©riste. La modestie de la cotisation demandĂ©e ne saurait donc constituer un obstacle pour un soutien Ă  notre dĂ©marche.
CommentĂ©valuer une maquette ? Le travail peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© en Accompagnement personnalisĂ© (AP) ou en Enseignement Pratique Interdisciplinaire (EPI). Il est le fruit d’un travail de groupe et a pour but des conceptions innovantes face aux enjeux La ville du futur fait rĂȘver. D’ici Ă  une trentaine d’annĂ©es, comment vivrons-nous ? Les espaces urbains auront-ils rĂ©ussi Ă  muter pour atteindre une alchimie parfaite avec l’environnement, les villes seront-elles plus rĂ©silientes ? Les politiques urbaines intĂšgreront-elles des dimensions sociale et environnementale en constante Ă©volution ? Autant de questions dont la rĂ©ponse nous parviendra certainement avec le temps, mais auxquelles nous pouvons nous essayer Ă  rĂ©pondre dĂšs maintenant. Nombreux sont les architectes et les urbanistes imaginant d’ailleurs dĂ©jĂ  la ville du futur 2050. Quelques architectes visionnaires sur la ville du futur 2050 Vincent Callebaut En matiĂšre de ville du futur, l’architecte Vincent Callebaut tire constamment son Ă©pingle du jeu, notamment du fait de la multiplicitĂ© de ses projets d’envergure. Une exposition “Villes 2050” a mĂȘme Ă©tĂ© tenue en 2018 au parc du Futuroscope pour prĂ©senter 19 des projets dudit architecte sur 50 dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ©s ou en cours, environ. Parmi les projets architecturaux de Vincent Callebaut La Tao Zhu Yin Yuan, une tour Ă  usage d’habitation principalement et occupant environ 50 000 mĂštres carrĂ©s. Sa structure bioclimatique et sa consommation 2 fois moins Ă©levĂ©e que les autres projets de ce type reprĂ©sentent ses particularitĂ©s, une bonne idĂ©e de ce Ă  quoi pourraient ressembler les nouvelles constructions dans la ville du futur 2050. The Gate, au Caire. Ici, 1 000 appartements, commerces et bureaux sur plus de 450 000 mÂČ de superficie ainsi que de multiples panneaux solaires et une facture Ă©nergĂ©tique diminuĂ©e de 40 % par rapport Ă  ses homologues. La Rainbow Tree ou “arbre arc-en-ciel » aux Philippines. Sur 32 Ă©tages, cette tour modulaire en bois massif est composĂ©e de plus de 30 000 plantes, un vĂ©ritable puits de carbone pour un bĂątiment Ă  empreinte environnementale positive. Paris en 2050, par Vincent Callebaut A l’image des autres projets de Vincent Callebaut, le projet Paris Smart City 2050 se veut une version plus intelligente et plus verte de la capitale, notamment par la conception de 8 prototypes de tours Ă©conomes en Ă©nergie et bioclimatiques. On parle bien Ă©videmment de tours dĂ©polluantes et solaires permettant de lutter durablement contre le phĂ©nomĂšne d’ilots de chaleur star propose la crĂ©ation de corridors Ă©cologiques, de façades Ă  base d’algues vertes pour permettre de capter le CO2 de l’air ambiant et de le stocker, de parcs verticaux, de tours maraĂźchĂšres et de balcons potagers, de ponts paysages alimentĂ©s par des Ă©oliennes et des hydroliennes
 Est prĂ©vue avec ce projet une rĂ©duction de 75 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre de la capitale. Un Paris 2050 qui fait indĂ©niablement rĂȘver, tant par son caractĂšre architectural que par son potentiel bioclimatique. Norman Foster Cet architecte de renom se distingue notamment par ses conceptions Ă©tonnantes associant Ă  la perfection innovation et dimension Ă©cologique. Il est considĂ©rĂ© comme certains comme un prĂ©curseur en matiĂšre d’architecture high-tech et a d’ailleurs reçu pour ses projets plus de 300 prix et rĂ©compenses. Pour lui comme pour les autres architectes urbanistes, la ville de demain se pense aujourd’hui, avec notamment Apple Park Cupertino, siĂšge social de la cĂ©lĂšbre marque, L’HĂŽtel de ville de Londres, Hearst tower New-York, premier building Ă©cologique, partant de l’extension d’un bĂątiment historique existant. Soulignons qu’une grande partie de ce bĂątiment provient de sources recyclables. Des modĂšles durables dĂ©jĂ  implantĂ©s dans nos villes Des airs de 2050 se perçoivent dĂ©jĂ  aujourd’hui, dans quelques villes un peu partout dans le monde. Europe du Nord, Asie
 En CorĂ©e du Sud dans la ville durable de Songdo, on compte dĂ©jĂ  40 % d’espaces verts et quasiment aucune voiture. Hong-Kong compte quant Ă  elle de plus en plus d’ilots urbains autosuffisants en Ă©nergie et l’agriculture urbaine y tient Ă©galement une place travers le monde, les rĂ©seaux de transports en commun s’étoffent et Ă©voluent vers une Ă©nergie verte. Des systĂšmes de gestion des dĂ©chets souterrains performants apparaissent. Et que dire des innovations constatĂ©es en matiĂšre d’habitat Ă©cologique et d’intelligence urbaine ? Tout cela fera sans conteste partie de la ville du futur. Pour 2050, il s’agira de faire Ă©voluer les modĂšles durables d’écoquartiers Ă  l’échelle de la ville, pour crĂ©er un Ă©cosystĂšme urbain global autosuffisant. La vie en 2050 En France et Ă  l'Ă©tranger, des objectifs clairs Penser la ville du futur 2050 ne rĂ©pond pas tant Ă  un besoin sociĂ©tal ou architectural mais plutĂŽt bel et bien Ă  un enjeu climatique fort. La crise environnementale actuelle nous amĂšne tous Ă  repenser nos modes de consommation mais Ă©galement la façon dont nous nous dĂ©plaçons et dont interagissons au sein des espaces urbains. Ceux-ci doivent donc se rĂ©inventer. D’ores et dĂ©jĂ , les multiples sommets Ă  vocation environnementale ont fait Ă©merger des objectifs clairs pour 2050 et notamment, celui de la neutralitĂ© carbone pour la France. Quelques enjeux de la ville du futur 2050 L’un des enjeux principaux des villes actuelles et futures sera de refroidir les espaces urbains pour une meilleure qualitĂ© environnementale notamment. Il s’agit de remplacer les Ăźlots de chaleur par des ilots de verdure, une verdure qui s’invite en ville Ă©galement pour des raisons liĂ©es Ă  la crise environnementale actuelle et qui n’a pas seulement vocation Ă  la dĂ©polluer mais aussi Ă  permettre Ă  la ville de cultiver des denrĂ©es. Les fermes verticales sont d’ailleurs communes Ă  tous les projets urbains futuristes pour mobilitĂ© verte permettra Ă©galement de refroidir les villes du futur en Ă©vitant de rejeter des gaz Ă  effet de serre dans l’atmosphĂšre. En France, le secteur des transports est responsable de 31 % des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre du quant Ă  lui, se voudra bioclimatique et connectĂ© pour des dĂ©penses Ă©nergĂ©tiques minimes voire nulles.
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Aussi la ville de Cannes s’est appuyĂ©e sur IGO pour mettre en place une plateforme 3D, innovante et interopĂ©rable, pour l’aide Ă  la dĂ©cision et la communication Ă  destination des services techniques, des Ă©lus et du grand public. Les objectifs : Faire communiquer les donnĂ©es du SIG avec les donnĂ©es 3D et permettre : l

ActivitĂ© de l'entreprise 1001rues propose de gĂ©nĂ©rer la conception des villes de demain par la parole des usagers. Pour concrĂ©tiser cette vision 1001rues conçoit des outils numĂ©riques de concertation citoyenne orientĂ©s projet. Les donnĂ©es rĂ©coltĂ©es par nos outils, une fois traitĂ©es, vont se matĂ©rialiser dans le design du projet. Offrant, aux dĂ©cideurs et concepteurs, diffĂ©rents scĂ©narios de conception des espaces issus de la parole de l’usager. La dĂ©marche de 1001rues ne s’oppose pas Ă  une concertation sur le terrain, plus classique; elle cherche Ă  la complĂ©ter et Ă  gommer ses lacunes. Notamment, le manque de participation des usagers ou futurs usagers, la monopolisation de la parole par un individu ou groupe d’individu ou encore la difficultĂ© Ă  faire remonter des donnĂ©es concrĂštes et utiles au projet. RĂ©fĂ©rences de l'entreprise Localisation Seine-et-Marne CatĂ©gorie DĂ©mocratie locale et relation avec les citoyens Structure du client EPAMARNE BIM citoyen Le BIM Citoyen est un outil de concertation numĂ©rique en ligne qui permet aux utilisateurs d'agir sur diffĂ©rents scĂ©narios proposĂ©s par les Ă©quipes de concepteur. A l’instar d’un serious game, l’internaute peut dĂ©couvrir le quartier au travers d’une maquette en 3D et s’immerger dedans. Il peut ainsi modifier diffĂ©rents Ă©lĂ©ments de la ville tels que les voiries, les espaces verts, la hauteur des bĂątiments
 mais comme dans un serious game, tous ces changements sont soumis Ă  des contraintes budgĂ©taires et aux rĂ©glementations environnementales et urbanistiques. Ainsi, le “joueur” peut voir au cours de sa construction, les impacts carbone, Ă©conomiques, esthĂ©tiques
 de ses propositions. Lien de l'application Localisation Seine-et-Marne CatĂ©gorie DĂ©mocratie locale et relation avec les citoyens Structure du client EPAMARNE Imaginer son parc Quand SimCity rencontre la participation. Imaginer son parc c’est un jeu, qui Ă  l’instar de SimCity permet Ă  l’utilisateur de crĂ©er son projet idĂ©al en partant d’un plateau de jeu Ă  remplir avec des programmations prĂ©alablement choisie avec nos commanditaires. L’application a fourni un grand nombre de propositions parfois similaires, mais souvent trĂšs diffĂ©rentes les unes des autres. Ces propositions sont passĂ©es par plusieurs filtres d’analyse afin de fournir Ă  l’arrivĂ©e une synthĂšse comprĂ©hensible par les professionnels de l’amĂ©nagement comme par les citoyens non familiarisĂ©s avec les pratiques des grands projets urbains . La plateforme Ă©tait composĂ©e de deux outils une galerie de rĂ©fĂ©rence et un plateau de jeux . La galerie de rĂ©fĂ©rence permettait aux utilisateurs d’aimer les images de rĂ©fĂ©rences de parcs existants qu’ils prĂ©fĂ©raient le plus. Plus de 500 likes ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s sur les 90 images de rĂ©fĂ©rence proposĂ©es au vote. L’analyse de ces votes consiste Ă  dĂ©gager les ambiances les plus plĂ©biscitĂ©es pour le futur parc de Serris. Le plateau de jeu questionne directement sur la programmation. Il prend la forme d’un jeu de plateau et propose aux utilisateurs de composer leur propre parc sur un pĂ©rimĂštre donnĂ©. DiffĂ©rents objets correspondant aux programmes possibles sont proposĂ©s Ă  l’utilisateur qui compose son parc. Celui-ci est amenĂ© Ă  faire des choix puisqu’il fait face tant Ă  la contrainte budgĂ©taire qu’à la contrainte de consommation de l’espace. 300 parcs ont Ă©tĂ© créés.

HélÚneMachet est dessinateur-projecteur à la ville de Reims (Grand Est), au sein de la direction des études et des travaux. Sur plusieurs projets à la fois, elle modélise des bùtiments à construire ou à rénover. Aux cÎtés des architectes et des chefs de projets, elle imagine la ville de demain. Découvrez son témoignage !
Les CM1 ont rĂ©alisĂ© des maquettes en lien avec un projet rĂ©alisĂ© par les classes de sixiĂšme. Le scĂ©nario est le suivant la montĂ©e des eaux entraĂźne un changement dans l’organisation des villes. Les CM1 ont donc imaginĂ© comment adapter les infrastructures Ă  ce bouleversement climatique et ont rĂ©alisĂ© la maquette d’une ville du futur. Cela a Ă©tĂ© fait en lien avec un travail en gĂ©omĂ©trie sur les solides. Voici les photos des maquettes et un lien vers l’exploration de la maquette des CM1C qui ont rĂ©alisĂ© un Genialy pour lĂ©gender la maquette Remarquonstout de mĂȘme que le vote a Ă©tĂ© plutĂŽt serrĂ© entre les trois classes ! Bravo Ă  eux et bravo Ă  l’ensemble des Ă©lĂšves des classes de 6Ăšme A, C et D pour leur implication et leur Mar 09 9 mars 2020 INVENTER LA VILLE DU FUTUR Cette semaine, les Ă©lĂšves de 6Ăšme A, B et C de Mme ANDRÉ de l’Institution Saint-Charles ont imaginĂ© les villes du futur, alliant Ă  la fois cultures, Ă©levages, logements, bureaux, et autosuffisantes sur le plan Ă©nergĂ©tique. Pour l’occasion, ils ont rĂ©alisĂ© de jolies maquettes issues de divers matĂ©riaux carton, papier, bois etc. pour illustrer leur vision des villes de demain. Ainsi, ils se sont inspirĂ© du projet “Dragon Fly”, imaginĂ© par le belge Vincent Callebaut, qui repose sur une ferme dite “bionique”, et qui se situerait au coeur de New-York dans les annĂ©es 2050. On l’aura compris, la vĂ©gĂ©talisation est au cƓur des villes du futur ! “DragonFly, prototype de gratte-ciel bioclimatique Ă  New-York pour 2050” Venez dĂ©couvrir les maquettes des Ă©lĂšves lors des Portes Ouvertes du 4 avril !
HABITERDEMAIN RÉ-INVENTONS NOS LIEUX DE VIE Cet « itinĂ©raire de visite » constitue une aide Ă  la dĂ©couverte de l’exposition HABITER DEMAIN, RÉ-INVENTONS NOS LIEUX DE VIE (du 4 dĂ©cembre 2012 au 10 novembre 2013). Le questionnaire porte sur une sĂ©lection d’élĂ©ments et comporte peu de questions. Le « parcours » proposĂ©
PubliĂ© le 12 avril 2018 AmĂ©nagement et foncier, urbanisme, CohĂ©sion des territoires A l'heure oĂč le programme Action coeur de ville consacre la fonction de directeur de centre-ville, comment se construit la profession de “manager de centre-ville” ? L'aperçu des formations en projet pour ce type de postes permet de dessiner le profil type de cette profession en devenir. Alors que certains acteurs territoriaux s'autorisent Ă  constater la torpeur du monde des unions commerçantes - on en compterait moins d'une cinquantaine actives Ă  Paris, pour quelques 250 associations enregistrĂ©es -, la profession de “manager de centre-ville”, pour sa part, semble prospĂ©rer. Assiste-t-on Ă  un renouveau de l'animation des centres-ville, vers un modĂšle plus dirigiste et moins collĂ©gial ? Qu'en est-il aujourd'hui de cette profession et ses voies d'accĂšs ? Un mĂ©tier dans la lignĂ©e des unions commerciales Le Club des managers de centre-ville et de territoire CMCV compte pas moins de 250 managers en activitĂ©, parmi lesquels sont distinguĂ©s trois profils selon le niveau de complexitĂ© de leur intervention territoriale. Le "manager de commerce" a une mission opĂ©rationnelle d'animation et de promotion, au sein des unions commerciales, dans une posture de coordination. Le "manager de centre-ville" assure, en complĂ©ment des missions du manager de commerce, la fonction stratĂ©gique d'interface avec les services de la collectivitĂ© il dispose Ă  ce titre de leviers d'action Ă©tendus, notamment en matiĂšre de communication. Enfin, le "manager de ville et de territoire" est chargĂ© d'une fonction d'expertise et de conseil en faveur de la dynamisation du tissu commercial ; il assume un leadership sur l'ensemble des acteurs associĂ©s Ă  la rĂ©flexion stratĂ©gique. Le CMCV inscrit les mĂ©tiers du management de centre-ville dans le prolongement de l'intervention des unions commerçantes, dont il appelle Ă  la professionnalisation “en permettant que des membres du bureau d'une union commerciale puissent se faire former en utilisant leurs fonds de formation propres” - une piste qui s'inscrit parmi les 10 recommandations du CMCV. Les managers de centre-ville doivent cependant aborder l'ensemble des problĂ©matiques urbaines, au delĂ  d'une perspective strictement commerçante. C'est pourquoi, selon Robert Martin, prĂ©sident du CMCV, la mutualisation du poste de manager entre une collectivitĂ© et la CCI n'est pas souhaitable de nombreux exemples peu concluants d'une telle mutualisation prouvent que le dĂ©calage de responsabilitĂ© et de mise en action, dans le cas d'une gouvernance binaire, est trop important. Passer du manager au dĂ©veloppeur Pour Patrick Vignal, prĂ©sident de l'association Centre-Ville en mouvement et dĂ©putĂ© de l'HĂ©rault lire notre interview, il y a urgence Ă  transformer le rĂŽle de manager en celui de dĂ©veloppeur. En d'autres termes passer de l'animation - d'inspiration associative - Ă  la supervision - plutĂŽt inspirĂ©e du manager de centre commercial, issu des milieux du marketing et du “retail”. Cette Ă©volution de la profession passe selon lui par la combinaison de trois compĂ©tences le savoir-faire d'un urbaniste, afin de dialoguer avec les collectivitĂ©s, celui d'un financier, pour ĂȘtre en mesure d'attirer des franchises de rayonnement mĂ©tropolitain ou de capter des financements europĂ©ens, et enfin celui d'un sociologue, Ă  mĂȘme de “crĂ©er un discours qui attire en ville”. Pour autant, Patrick Vignal ne rĂ©fute pas le caractĂšre essentiellement collĂ©gial du dĂ©veloppement des centres-villes il revient au dĂ©veloppeur de centre-ville de faire le lien entre les acteurs de sa revitalisation. En ce sens, le poste peut tout Ă  fait ĂȘtre mutualisĂ© entre plusieurs centres-bourgs, voir Ă  l'Ă©chelle d'un dĂ©partement ou d'une rĂ©gion, par exemple avec la CCI. Des parcours de formation dĂ©diĂ©es attendus dans les prochains mois Le CMCV projette l'ouverture, dĂšs la rentrĂ©e 2018, d'un programme de formation aux mĂ©tiers du management de centre-ville, dĂ©clinĂ© selon les trois profils dĂ©crits ci-dessus. Cette formation, fruit d'un partenariat avec le Conservatoire national des arts et mĂ©tiers le Cnam, sera assurĂ©e par des experts ayant dĂ©jĂ  dĂ©veloppĂ© une pratique opĂ©rationnelle, sur le format de cours du soir, en ciblant chaque annĂ©e 20 Ă  25 futurs managers. Ces derniers pourront ĂȘtre recrutĂ©s sur la base d'une formation ou d'une expĂ©rience en urbanisme, en immobilier, ou bien dans les mondes du commerce et de la grande distribution. Le programme initial, dispensĂ© Ă  Paris, pourrait ĂȘtre dĂ©clinĂ© avec des formations courtes dans les antennes du rĂ©seau Cnam. ParallĂšlement, l'association Centre-Ville en mouvement prĂ©voit d'initier dĂ©but 2019 une formation professionnelle avec les facultĂ©s de Montpellier et de Caen. La maquette des cours - encore en cours d'Ă©laboration par des professionnels - a prĂ©cisĂ©ment vocation Ă  combiner les compĂ©tences clĂ©s de l'urbanisme, de la finance et de la sociologie. Àpartir d'un contenu iconographique illustrant des projets (existants ou utopiques) d'initiatives architecturales en phase avec la nature, les participants seront invitĂ©s Ă  rĂȘver la ville de demain et Ă  la rĂ©aliser en maquette. L'objectif de l'atelier est d'investir toutes les dimensions de l'espace urbain: dessins au sol et sur les murs Ă  la craie, vĂ©gĂ©talisation des surfaces Quelle distribution horaire? Chaque collĂšgue anime une partie des heures dans sa discipline, quelques sĂ©ances sont conjointement animĂ©es, en particulier pour la prĂ©sentation, pour dĂ©finir les attendus de la rĂ©alisation finale et faire un bilan de l’action. Le projet s’est dĂ©roulĂ© sur environ un mois, selon le dĂ©coupage horaire suivant - GĂ©ographie 10 h - Si 14 h En raison des contraintes horaires, une part du travail concernant les posters et autres rĂ©alisations graphiques a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e par les Ă©lĂšves sur leur temps libre. Les logiciels choisis sont presque tous gratuits pour nos Ă©lĂšves, leur permettant de travailler chez eux. Quelle dĂ©marche pour quels objectifs? Le projet vise une implication citoyenne dans une dĂ©marche de dĂ©veloppement durable et de dĂ©veloppement personnel pour les Ă©lĂšves qui deviennent rĂ©ellement acteurs de leur formation, rĂ©investissant connaissances et compĂ©tences dĂ©veloppĂ©es en groupes de 3 Ă  4 Ă©lĂšves et en classe entiĂšre. L’épreuve du baccalaurĂ©at en STI2D est un projet et compte pour environ 70% de la note ; en termes de mĂ©thode, les Ă©lĂšves ont alors un premier contact avec l’apprentissage de la gestion de projet. Le projet permet de travailler le changement d’échelle en passant du quartier Ă  la ville durable, en Ă©changeant autour des problĂ©matiques de l’un ou de l’autre les groupes hors option travaillent sur la ville, les groupes d’option SI travaillent sur l’écoquartier. A travers l’approche multi scalaire, du quartier Ă  l’agglomĂ©ration, ils analysent et tĂąchent de rĂ©pondre Ă  la problĂ©matique Comment concevoir et amĂ©nager un Ă©coquartier ou une ville durable en tenant compte des logiques du dĂ©veloppement durable ? » En SI, ils dĂ©couvrent des Ă©coquartiers actuels en GĂ©ographie Bedzed- en SI, FrĂ©quel- Fontarabie, font des recherches sur des Ă©coquartiers futuristes et travaillent sur les contraintes Ă  prendre en compte. Ils cherchent des rĂ©ponses aux problĂšmes posĂ©s par les professeurs, pour concevoir une charte de l’écoquartier ou ville. En effet, les Ă©coquartiers doivent ĂȘtre conçus sur un terrain proche du lycĂ©e, prĂ©sentant des caractĂ©ristiques prĂ©cises auxquelles les Ă©lĂšves doivent s’adapter voir capture GĂ©oportail ci-dessous. Puis, ils organisent leur travail en fonction des objectifs dĂ©finis dans un cahier des charges du projet pour rĂ©pondre Ă  la charte mise en place. Cf. Fiche d’activitĂ© 1 SI. Cette tĂąche est simplifiĂ©e, les classes ayant dĂ©jĂ  traitĂ© en GĂ©ographie le thĂšme introductif Du dĂ©veloppement au dĂ©veloppement durable » ainsi que les thĂšmes sur l’enjeu de la ressource en eau et l’enjeu Ă©nergĂ©tique. Le projet rĂ©investit ainsi immĂ©diatement les connaissances des Ă©lĂšves. En introduction, les Ă©lĂšves ont prĂ©alablement identifiĂ© les enjeux du dĂ©veloppement durable Ă  de multiples Ă©chelles et en fonction de documents de nature diffĂ©rente. Deux Ă©tudes de cas ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es, l’une dans un PED, l’autre dans un pays dĂ©veloppĂ©. De plus, les deux classes ont Ă©tudiĂ© des villes futuristes dont l’aboutissement est compromis ou abandonnĂ©, notamment parce que les piliers Ă©conomiques et sociaux ne sont pas dĂ©veloppĂ©s Dongtan, Masdar, celles-ci ne pouvant donc ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme rĂ©pondant Ă  la dĂ©finition de ville durable. La confrontation des Ă©tudes de cas et la mise en perspective ont permis d’apprĂ©hender les apports thĂ©oriques nĂ©cessaires Ă  la rĂ©alisation du projet. Ainsi, les Ă©lĂšves doivent pointer les Ă©quilibres et dĂ©sĂ©quilibres entre les piliers du dĂ©veloppement durable pour envisager une logique de dĂ©veloppement durable qui soit satisfaisante pour leur ville ou Ă©coquartier. Onpasse ainsi du BIM au CIM (City Information Modeling), maquette numĂ©rique Ă  l'Ă©chelle non d'un bĂątiment mais d'un quartier ou d'une ville, qui accompagne la prise de dĂ©cision en matiĂšre d
- Le gabarit du gùteau Dessiner sur des feuilles les chiffres et les lettres, découper avec des ciseaux - Le gùteau Dans un saladier mélanger 140g de beurre fondu, 75g de sucre glace, 1 pincée de sel, 50g de poudre de noisette, 1 oeuf, 250g de farine Former une boule Poser une feuille de papier cuisson sur le plan de travail, poser la boule de pùte par dessus, poser une feuille de papier cuisson par dessus, passer le rouleau à pùtisserie pour faire une pùte fine pas trop fine non plus Poser les feuilles gabarits sur la pùte, couper le contour à l'aide d'un couteau, poser sur la plaque du four directement sur la feuille de cuisson pour ne pas le casser en le déplaçant Cuire au four à 180° quelques minutes bien surveiller car c'est trÚs rapide - La crÚme Fouetter 600g de mascarpone avec 120g de sucre glace - Le montage du gùteau Une fois les chiffres et lettres du gùteau cuits, napper avec la crÚme en utilisant une seringue à pùtisserie Décorer avec des meringues, chamallow, smarties, chocobons, m&m's, vermicelles, fleurs en sucre Conserver au frigo, sortir 10 minutes avant de manger Voir les commentaires
VIDÉO- Le jumeau numĂ©rique, une reproduction digitale en 3D d’une ville permet de tester diverses solutions pour de grands projets urbains. Un outil qui tend Ă  se gĂ©nĂ©raliser car il permet
Les Ă©lĂšves des deux classes de 6e ont eu la chance de participer Ă  un concours interne de gĂ©ographie urbaine, proposĂ© par leur professeur d’histoire/gĂ©ographie, M. Granier. Le sujet Ă©tait “2040, habiter la ville de demain”. Ils pouvaient travailler en groupe de trois ou seul et rĂ©aliser soit un plan de ville imaginaire soit une maquette. Chaque production devait ĂȘtre accompagnĂ©e d’explications sur les fonctions de la ville choisie. Les enfants pouvaient s’aider d’internet, de recherches faites au CDI centre de documentation et d’information, d’exemples vus en classe, de conseils auprĂšs du professeur. Ils devaient croire en leur projet car ils devaient le prĂ©senter Ă  la classe, oralement, lors d’une sĂ©ance spĂ©ciale. Quelques questions, posĂ©es par le professeur, devaient aider les jeunes et les guider dans la conception de leur idĂ©e. Comment se dĂ©placer dans la ville de demain ? Comment seront les bĂątiments ? Comment mieux vivre ensemble ? Quelle place accorder Ă  l’environnement ? Toutes les rĂ©alisations, diverses et trĂšs riches, ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es Ă  la maison, en deux semaines environ, puis exposĂ©es Ă  la mĂ©diathĂšque oĂč les parents ont pu les voir. Cela a permis aussi d’amener les Ă©lĂšves dans ce lieu culturel oĂč certains ne sont jamais venus. Un vote a permis de sĂ©lectionner la meilleure production, avec, pour le ou les gagnants, la fiertĂ© d’ĂȘtre en tĂȘte. z5UPw.
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