alaĂŻaet balenciaga, sculpteurs de la forme prĂ©sentation du livre par olivier saillard librairie de la fondation azzedine alaĂŻa À l’occasion d’un second accrochage, l’exposition « AlaĂŻa/Balenciaga » invite les visiteurs Ă  venir Le nouveau B. Balenciaga se montre plus Intense que jamais ! Balenciaga est une grande enseigne de mode qui a su se hisser au plus haut sommet de la notoriĂ©tĂ© grĂące au talentueux Nicolas GhesquiĂšre Ă  sa tĂȘte de 1997 Ă  2012. Aujourd’hui, celui-ci a Ă©tĂ© remplacĂ© par Alexander Wang, nouveau personnage trĂšs charismatique et crĂ©atif ayant dĂ©jĂ  toute la reconnaissance de ses pairs et dont le travail est gĂ©nĂ©ralement suivi de nombreux Ă©loges. AprĂšs avoir planchĂ© sur le souffle nouveau Ă  porter au style couture de l’enseigne, il ne tarda pas Ă  dĂ©cliner son savoir en termes de parfumerie. C’est ainsi qu’apparut la collection B. Balenciaga, dĂšs 2014. Aussi, c’est une nouvelle dĂ©clinaison de cet assortiment parfumĂ© que nous prĂ©sente cette annĂ©e l’enseigne Balenciaga. En outre, le nouveau B. Balenciaga Intense verra le jour d’ici l’automne 2016. L’odeur inĂ©dite de B. Balenciaga La collection parfumĂ©e B. Balenciaga avait fait son apparition avec une fragrance aux multiples contrastes. Celle-ci s’avĂ©rait ĂȘtre vive, verte, aromatique, Ă  la fois florale et boisĂ©e. En outre, elle fut Ă©laborĂ©e par le parfumeur Domitille Bertier en partenariat avec Coty Prestige et dĂ©voilait des accents de fĂšves de soja verte, de muguet, de feuilles des violettes, d’iris, d’ambrette et de cĂšdre. Face Ă  son succĂšs, elle fut ensuite rĂ©interprĂ©tĂ©e en une version plus douce et plus lisse, dĂšs 2015. Il s’agissait alors de B. Balenciaga Peau. Aussi, Ă  mille lieues de cette premiĂšre dĂ©clinaison, B. Balenciaga Intense s’avĂšre ĂȘtre un parfum au caractĂšre beaucoup plus prononcĂ©. Il s’agit d’un jus boisĂ© et intense, jouant sur les contrastes. Celui-ci met en avant des tonalitĂ©s vibrantes tout en les associant Ă  des accents fruitĂ©s plus rafraĂźchissants. Le tout dĂ©bute par un mĂ©lange de thĂ© vert et de myrtille avant d’évoluer vers une fleur captivante la Reine de la Nuit. Comme le suggĂšre son nom, il s’agit d’une fleur qui ne se dĂ©voile qu’une fois la nuit venue. Celle-ci dĂ©livre une senteur proche de celle du jasmin mais encore plus opulente. Elle est alors relayĂ©e par une base plus boisĂ©e, toujours trĂšs Ă©lĂ©gante mais particuliĂšrement vibrante. En l’occurrence, cette derniĂšre est clairement dominĂ©e par la prĂ©sence de cĂšdre. Le flacon sculpture de B. Balenciaga Intense Si B. Balenciaga Intense dĂ©livre une senteur particuliĂšrement captivante, il faut bien reconnaĂźtre que celle-ci est magnifiquement interprĂ©tĂ©e au travers de son flacon. En outre, son Ă©crin reprend le design de ses prĂ©dĂ©cesseurs sans pour autant manquer de mystĂšre. Il se dote aujourd’hui d’un dĂ©gradĂ© Ă©voluant de la transparence au pourpre. ParticuliĂšrement contemporain, il parvient nĂ©anmoins Ă  conserver l’hĂ©ritage de la maison de couture Balenciaga. Sa forme se veut trĂšs architecturale et possĂšde six faces. Son cabochon, quant Ă  lui, se dote d’une arche intĂ©rieure rendant hommage Ă  la forme caractĂ©ristique des collections de couture et des accessoires Balenciaga. Le tout est ornĂ© d’une plaque sur la facette gauche de cette bouteille. PensĂ©e dans un noir opaque, cette derniĂšre nous dĂ©voile le nom de ce nouveau jus dans une Ă©criture blanche et Ă©purĂ©e. Le tout est particuliĂšrement Ă©lĂ©gant, s’ancrant Ă  merveille dans le style Balenciaga. Cest Azzedine AlaĂŻa collectionneur : AlaĂŻa et Balenciaga, sculpteurs de la forme qui rouvre pour notre plus grand plaisir. Association Azzedine AlaĂŻa, 18 rue de la Verrerie 75004 PARIS ouvert tous les jours de 11h Ă  19h , tĂ©l +33 1 42 72 30 69 (ou 0142 72 19 19) jusqu'au 4 janvier 2021 . ActualitĂ©s. Actus des membres; À voir, Ă  lire, Ă  Ă©couter; Boite Ă  idĂ©es, projets de l'Afcca
Ils sont acteur, Ă©crivain ou rĂ©alisateur, danseur Ă©toile ou joaillier. HabituĂ©s du front row des dĂ©filĂ©s ou mordus de mode, tous cultivent leur sens de l’allure avec Saillard, historien de la mode"C'est un confort de ne plus penser Ă  son look"Quel est votre lien avec la mode ?Ma passion pour la mode est nĂ©e dans mon grenier, oĂč ma mĂšre et mes sƓurs accumulaient des vĂȘtements, sur lesquels j'avais pris l'habitude de m'allonger comme sur un immense dĂ©finissez-vous votre style ?Il a Ă©tĂ© trĂšs classique, puisque j'ai longtemps portĂ© des costumes et des cravates. Mais il s'est un peu radicalisĂ© Ă  partir de 45 ans. Sans le vouloir, je me suis mis Ă  ressembler Ă  mon pĂšre, qui Ă©tait toujours en bleu de travail, car j'ai mis au point un uniforme composĂ© d'un pantalon bleu de chez Maison Gabriel, rue du Mont-Thabor, Ă  Paris, d'une chemise en jean, d'une cravate vintage et d'une paire de Weston. C'est un confort de ne plus penser Ă  son look. Et comme, Ă  50 ans, suivre la mode revient un peu Ă  ĂȘtre costumĂ©, il vaut mieux s'arrĂȘter sur un mode embellit-elle les hommes ?Les beaux vĂȘtements subliment les hommes, mais c'est difficile de parler de mode, car je pense immĂ©diatement aux cycles des saisons et aux logos. Or, je trouve toujours douteux de voir un monogramme sur des hommes ou des "AlaĂŻa et Balenciaga, sculpteurs de la forme", sous la direction d'Olivier Saillard, Ă  partir du 20 janvier, Ă  l'Association Azzedine AlaĂŻa, Ă  Top, joaillier"Le cĂŽtĂ© dernier cri me fait peur"Quel est votre lien avec la mode ?Tout a commencĂ© quand je me suis mis Ă  dessiner, vers 10-11 ans. Plus qu'aux tendances, je m'intĂ©resse aux vĂȘtements et je suis lĂ©gĂšrement conservateur sur le sujet. J'apprĂ©cie les piĂšces bien coupĂ©es, et mon idĂ©al reste assez nostalgique. Être Ă  la mode n'est pas forcĂ©ment chic. Le cĂŽtĂ© dernier cri me fait dĂ©finissez-vous votre style ?Classique. Je porte les mĂȘmes vĂȘtements depuis vingt ans, notamment les pantalons de mes annĂ©es Yves Saint Laurent, et une fois que je suis habillĂ©, je n'y pense plus. J'ai un rĂ©pertoire trĂšs paramĂ©trĂ© je mets systĂ©matiquement une chemise rayĂ©e avec une cravate tricotĂ©e, une veste, un pull sans manches, un jean ou un pantalon de costume et des les piĂšces trĂšs simples. Les modĂšles trop crĂ©atifs avec beaucoup de dĂ©tails - col asymĂ©trique, boutonniĂšres ou multipoches - ne me plaisent pas beaucoup. Mais je ne cherche pas Ă  imposer mes goĂ»ts. Je me rĂ©jouis de vivre une Ăšre oĂč les jeunes osent la fantaisie. Il y a beaucoup plus de libertĂ© qu'Ă  mon Ă©poque. Cette gĂ©nĂ©ration n'a plus les mĂȘmes barriĂšres psychologiques que les nĂŽtres, et ce qui est proposĂ© sur les podiums est mode embellit-elle les hommes ?Les vĂȘtements, oui, la mode, je ne sais pas. Mes rĂ©fĂ©rences dans ce domaine ? Des personnalitĂ©s comme l'acteur Daniel Day-Lewis ou ThadĂ©e Klossowski - le mari de Loulou de la Falaise - qui arbore les mĂȘmes habits depuis quarante collection de charms pour la vidĂ©o, le dĂ©filĂ© AMI Alexandre Mattiussi automne-hiver 2020-2021Éric Reinhardt, Ă©crivain"J'ai commencĂ© Ă  m'habiller pour sĂ©duire les femmes Ă©lĂ©gantes"Quel est votre lien avec la mode ?Mon amour pour les vĂȘtements me vient de ma grand-mĂšre. Cette couturiĂšre aveyronnaise de gĂ©nie Ă©tait trĂšs rĂ©putĂ©e et habillait toutes les bourgeoises d'Avignon. Elle ne dessinait pas, mais pouvait reproduire un modĂšle en un coup d'Ɠil. Je passais toutes mes vacances chez elle et j'ai beaucoup appris sur les tissus, les coupes, les associations d'imprimĂ©s
 C'est grĂące Ă  elle que je suis si sensible Ă  la qualitĂ© des piĂšces. Et elle m'a confectionnĂ© de nombreuses vestes et des chemises que mon fils porte encore aujourd' dĂ©finissez-vous votre style ?DĂšs l'adolescence, j'ai voulu montrer que j'Ă©tais diffĂ©rent, assurer une singularitĂ©, et j'ai commencĂ© Ă  m'habiller pour sĂ©duire les femmes Ă©lĂ©gantes. Il fallait que je sois Ă  la hauteur. J'ai eu ma pĂ©riode costume, mais ma rencontre avec VĂ©ronique Nichanian chez HermĂšs m'a poussĂ© Ă  adopter une allure plus mode embellit-elle les hommes ?Elle permet surtout d'exprimer sa personnalitĂ©. Nous sommes dans une forme de fiction sociale et le choix de nos vĂȘtements raconte une histoire, la nĂŽtre. Étant toujours Ă  la recherche d'une certaine cohĂ©rence dans ma vie, j'aime que mon apparence traduise mes passions, notamment mon attachement Ă  la littĂ©rature, Ă  la poĂ©sie et Ă  l'art."Christian Louboutin The Exhibitionnist", texte d'Éric Reinhardt, Ă  paraĂźtre en mars chez Rizzoli New York, en Ă©cho Ă  l'exposition "Christian Louboutin Exhibitionniste", consacrĂ©e Ă  l'oeuvre de Christian Louboutin, du 26 fĂ©vrier au 26 juillet 2020, au Palais de la Porte DorĂ©e, Ă  Paradot, acteur"Les beaux vĂȘtements donnent confiance"Quel est votre lien avec la mode ?J'ai commencĂ© Ă  m'intĂ©resser Ă  cet univers il y a quelques annĂ©es, alors que Hedi Slimane m'avait invitĂ© Ă  poser devant son objectif. Mon mĂ©tier d'acteur me permet d'assister Ă  des dĂ©filĂ©s ou de jouer les mannequins le temps d'un shooting. Et j'adore me transformer tout en dĂ©couvrant le travail des crĂ©ateurs. La seule chose que je regrette, c'est de voir que la mode peut ĂȘtre un signe ostentatoire de richesse, et je ne suis pas toujours Ă  l'aise face aux arrogants de ce dĂ©finissez-vous votre style ?Je me cherche beaucoup et je tente d'innover. J'ai compris qu'il fallait avant tout s'Ă©couter, car il n'y a pas vraiment de codes Ă  suivre. Mais je reste accro aux baskets, je dois en possĂ©der une trentaine de mode embellit-elle les hommes ?Oui, parce que les beaux vĂȘtements donnent confiance, mais il faut rester soi-mĂȘme. Sans forcĂ©ment parler de look, certains acteurs comme BenoĂźt Magimel ou Gaspard Ulliel, et des rappeurs comme A$AP Rocky ou Nekfeu, dĂ©gagent une Ă©lĂ©gance naturelle qui m' l'affiche de "Balle perdue", prochainement sur Boumedine, acteur"J'essaie de ne pas trop en faire"Quel est votre lien avec la mode ?J'ai toujours adorĂ© ça ! MĂȘme quand je ne gagnais pas encore ma vie, j'Ă©tais attentif aux tendances et je faisais attention Ă  ce que je portais. CinĂ©ma, architecture, musique, mode
 tout m'intĂ©ressait. J'ai fait mon chemin tout seul parce que ces univers ne passionnaient pas ma famille. Quand on m'a proposĂ©, la premiĂšre fois, de m'habiller pour un festival de cinĂ©ma, j'Ă©tais enthousiaste. Je me suis vite pris au dĂ©finissez-vous votre style ?Je ne m'arrĂȘte pas Ă  un genre en particulier. Mon style Ă©volueet j'aime alterner entre des vĂȘtements casual - je pourrais ĂȘtre habillĂ© en Levi's de la tĂȘte aux pieds - et de beaux costumes pour les grandes occasions. J'ai tendance Ă  associer Ă©lĂ©gance et simplicitĂ© pour ne pas trop en faire. La mode embellit-elle les hommes ?Oui, Ă  condition de prendre le bon et de laisser le mauvais de cĂŽtĂ©. Mais c'est Ă©videmment un outil qui permet de se sentir bien et de se mettre en dans "L'ÉtĂ© nuclĂ©aire", de GaĂ«l gauche Ă  droite Rod Paradot, Éric Lartigau, RaphaĂ«l Personnaz, Germain Louvet et Olivier Saillard. Photo ©DavidCoulonRaphaĂ«l Personnaz, acteur"Je cultive un goĂ»t pour une certaine masculinitĂ©"Quel est votre lien avec la mode ?Nous Ă©tions trois garçons Ă  la maison mon lien avec la mode s'est donc fait petit Ă  petit Ă  travers mon mĂ©tier d'acteur. La premiĂšre fois que j'ai assistĂ© Ă  un dĂ©filĂ©, cela a Ă©tĂ© un choc l'ambiance, le public, l'excitation, la musique, tout Ă©tait dĂ©multipliĂ©. Et c'Ă©tait amusant de voir une telle effervescence pour seulement dix minutes de show ! Aujourd'hui, ma relation avec cet univers s'affirme, et je suis fascinĂ© par tous les mĂ©tiers et les talents qui se cachent derriĂšre le dĂ©finissez-vous votre style ?Classique. Mon jean est une seconde peau, et mes boots, mes compagnons de route. MĂȘme lorsque je fais un effort, je ne veux rien d'ostentatoire. Je cultive un goĂ»t pour une certaine masculinitĂ©. Au cinĂ©ma, je prends beaucoup de plaisir Ă  travailler les costumes pour un rĂŽle. Que ce soit pour La Princesse de Montpensier ou L'Affaire SK1, dont l'histoire se dĂ©roule dans les annĂ©es 1990. Me transformer Ă  travers les vĂȘtements m'a permis de me glisser dans la peau de mes personnages plus mode embellit-elle les hommes ?Évidemment ! Cependant, il s'agit toujours de garder une juste mesure. La mode doit ĂȘtre un soutien, une source d'idĂ©es, mais jamais un diktat avec un tournage de la sĂ©rie "OpĂ©ra", qui sera diffusĂ©e sur Louvet, danseur Ă©toile"L'homme a un vestiaire trop restreint"Quel est votre lien avec la mode ?J'ai toujours Ă©tĂ© fascinĂ© par les magazines de mode. Originaire de Bourgogne, j'ai grandi loin de ce milieu. Mais en devenant danseur Ă  l'OpĂ©ra, je me suis familiarisĂ© avec cet univers grĂące Ă  des soirĂ©es de gala, des sĂ©ances photos
 J'ai mĂȘme eu la chance de dĂ©filer deux fois pour AgnĂšs b. Il existe un rapport privilĂ©giĂ© entre la mode et la danse, car nos costumes de scĂšne sont souvent signĂ©s de grands couturiers. Je viens par exemple de danser en Rick Owens pour Hiroshi Sugimoto/William dĂ©finissez-vousvotre style ?Versatile. Chaque style a une durĂ©e de vie trĂšs courte et l'humeur du jour m'oriente vers un look. Les tendances permettent l'audace, et je dĂ©teste l'idĂ©e d'ĂȘtre prĂ©disposĂ© Ă  porter tel ou tel vĂȘtement. En cela, je trouve que l'homme a un vestiaire trop restreint. Des crĂ©ateurs comme Alessandro Michele chez Gucci osent des vĂȘtements dĂ©genrĂ©s, dĂ©classĂ©s et anachroniques, qui offrent libertĂ©, poĂ©sie et mode embellit-elle les hommes ?Je pense que la mode est faite pour affirmer un style, une personnalitĂ©, voire un engagement politique !Sur scĂšne dans "Giselle", du 31 janvier au 15 fĂ©vrier, au Palais Garnier, Ă  Gallo, leader des BB Brunes"J'ai besoin d'incarner un personnage pour vaincre ma timiditĂ©"Quel est votre lien avec la mode ?Il s'est formĂ© via le prisme de la musique. J'ai Ă©tĂ© sĂ©duit par le style hippie de Jimi Hendrix, avec ses foulards colorĂ©s, puis par celui de Serge Gainsbourg, qui portait sa veste de costume avec un jean 501 et des Repetto. Mais j'aime aussi le cĂŽtĂ© loubard de GĂ©rard Depardieu dans Loulou, de Maurice dĂ©finissez-vousvotre style ?Mon look a Ă©voluĂ© en mĂȘme temps que ma musique. Pour mon premier album, j'avais optĂ© pour une allure rock copiĂ©e sur celle des Strokes et des Libertines. J'ai ensuite Ă©voluĂ© vers un look "gainsbourien", puis vers des vĂȘtements plus urbains. Mon nouvel album est un retour aux sources avec des costumes trĂšs cintrĂ©s des annĂ©es 1970. En dehors de la scĂšne, j'ai quelques indispensables comme un jean Levi's, une chemise colorĂ©e, un blouson de cuir et une paire de chaussures La Botte mode embellit-elle les hommes ?Bien sĂ»r ! Mais en ce qui me concerne, elle m'aide Ă  crĂ©er un personnage et, ainsi, Ă  vaincre ma timiditĂ© lorsque je monte sur scĂšne. Et cette transformation passe d'abord par les "Visage", Elektra/WarnerMusic France. En tournĂ©e en Bonello, rĂ©alisateur"Je compte sur ma fille pour m'Ă©viter le fashion faux pas"Quel est votre lien avec la mode ?Mon premier rapport Ă  la mode s'est créé avec les Clash. Chemises Ă  lettrage, pantalons blancs zippĂ©s, Dr. Martens, c'Ă©tait le groupe punk le mieux habillĂ© du monde, et nous n'avons pas fait mieux depuis. J'ai ensuite dĂ©couvert le travail de Nicolas GhesquiĂšre chez Balenciaga et j'ai Ă©tĂ© stupĂ©fait par son inventivitĂ©. Ensuite, je me suis naturellement sensibilisĂ© Ă  cet univers en travaillant pour mon film sur Yves Saint dĂ©finissez-vous votre style ?Less is more. AprĂšs avoir tentĂ© de ressembler Ă  Paul Simonon ou Ă  Joe Strummer The Clash, j'ai dĂ©veloppĂ© un look trĂšs basique. Le tee-shirt blanc et le 501 de Levi's sont devenus mes indispensables. Et je compte sur ma fille de 16 ans pour m'empĂȘcher de faire un fashion faux pas. Elle est ultracrĂ©ative question mode, et sait s'inventer des looks trĂšs personnels avec un petit mode embellit-elle les hommes ?ForcĂ©ment, puisqu'en choisissant un costume de crĂ©ateur, on porte l'empreinte de celui-ci sur soi. La mode donne confiance, mais j'aime avoir le regard d'un tiers pour confirmer mes Lartigau, rĂ©alisateur"Le mĂ©tier de designer n'est pas si Ă©loignĂ© du mien"Quel est votre lien avec la mode ?La premiĂšre fois que j'ai assistĂ© Ă  un dĂ©filĂ© de Nicolas GhesquiĂšre pour Balenciaga, j'ai Ă©tĂ© bouleversĂ© de voir qu'il nous racontait une histoire Ă  travers ses crĂ©ations. Il m'a littĂ©ralement transportĂ©, et j'ai compris que le mĂ©tier de designer n'Ă©tait pas si Ă©loignĂ© de celui de rĂ©alisateur. Au cinĂ©ma, le vĂȘtement dit beaucoup du personnage, exprime sa fantaisie, sa sensibilité  Il faut donc que les costumes soient subtilement travaillĂ©s en dĂ©finissez-vous votre style ?C'est difficile de le qualifier. Lorsque je dĂ©couvre un label qui me plaĂźt, je peux dĂ©valiser ses boutiques et rester addict Ă  la marque jusqu'Ă  ce que je flashe sur une autre. Je ne jette rien, j'ai des Weston vieilles de trente-cinq ans, et je suis toujours heureux de retrouver une paire oubliĂ©e. Je m'habille en fonction de mon humeur du jour - gĂ©nĂ©ralement en vingt secondes - car je suis trĂšs instinctif. J'aime l'idĂ©e que le vĂȘtement est Ă  la fois important et totalement secondaire, car on se livre Ă©normĂ©ment avec des choix de couleurs, de matiĂšres et de lignes. J'ai Ă©tĂ© sĂ©duit par la crĂ©ativitĂ© dingue qu'on voit dans les rues de Tokyo. Les gens osent des mĂ©langes improbables et ne sont jamais jugĂ©s. Cela n'arriverait pas en France, oĂč tout le monde se mode embellit-elle les hommes ?Évidemment ! Quand on regarde la dĂ©gaine de Ryan Gosling ou celle de Steve McQueen Ă  l'Ă©poque, on voit qu'ils ont en eux une Ă©lĂ©gance insensĂ©e. MĂȘme GĂ©rard Depardieu, je le trouve magnifique, avec ses grandes chemises et l'hypersensibilitĂ© qui se dĂ©gage de sa silhouette film "JeSuisLĂ ", avec Alain Chabat, sort le 5 fĂ©vrier.
Exposition«AlaĂŻa et Balenciaga, sculpteurs de la forme», Ă  la Galerie Azzedine AlaĂŻa, 18, rue de la Verrerie 75004 jusqu’au 28 juin. #azzedinealaia #balenciaga #exposition #paris Je me revois Ă  la fin des annĂ©es 1980 me saigner aux quatre veines rue de la Verrerie pour un caleçon de laine noire sculptural, une jupe noire fondue sur deux bodies de jersey aux dĂ©colletĂ©s de vertige, des gants mousquetaires perforĂ©s d’Ɠillets argentĂ©s
 Plus tard viendront un tailleur vert bouteille ultra-cintrĂ© d’allure militaire, une ceinture-corset Ă  rivets et lacets, quelques vĂȘtements encore. Leur sensualitĂ© procĂšde d’une mathĂ©matique des volumes et des proportions qui fait de la couture un exercice d’anatomie appliquĂ©e, une science exacte de la coupe provoquant des tombĂ©s Ă  tomber. Cette austĂ©ritĂ© magistrale renvoie Ă  Alix GrĂšs pour le biais et plus encore au grand Balenciaga pour l’épure, la structure, tous les sortilĂšges du noir. J’ai enfin une taille et des hanches, des fesses et des seins. Ma silhouette spirale en courbes comme celle d’une hĂ©taĂŻre alors qu’au fond de mon cƓur bout l’ardeur d’une amazone prĂȘte au combat. On peut donc exciter le dĂ©sir d’autrui et se sentir en mĂȘme temps invulnĂ©rable ? Oui et rien que pour cette vĂ©ritĂ© de plus en plus difficile Ă  comprendre, toutes les femmes qu’il a su si merveilleusement cuirasser et sublimer pour l’éternitĂ© lui diront merci Monsieur disparition de cet immense petit homme aux yeux noirs, fou de son travail et d’un perfectionnisme illimitĂ©, m’a Ă©mue. Elle m’a rappelĂ© que le temps passe et rĂ©vĂšle. Ici la noblesse d’ñme, l’indĂ©pendance, la singularitĂ© chevillĂ©e Ă  l’amour d’un mĂ©tier exercĂ© sans compromis ni compromissions dans la discrĂ©tion. Tout ce qui est beau est aussi difficile que rare », Ă©crit Spinoza. Ainsi le grand art d’Azzedine AlaĂŻa. Plus sculpteur que dessinateur et plus architecte que couturier, il avait l’obsession du trait et des lignes pour que ça tourne autour du corps, de profil et de dos ». Armatures, paniers, baleines, cerceaux un corps se dresse pour se tenir, l’allure tient Ă  la forme, faire un corps » fut son mantra, question de maintien. Ennemi du mou et du flou, sa mode est aux antipodes de l’à-peu-prĂšs oversize, du relĂąchĂ© unisexe, du chiffonnĂ© transgenrĂ©. Il aurait pu vaciller avec celle du grunge et des tops anorexiques Ă  la fin des annĂ©es 1990 mais non, ce qui ne l’a pas tuĂ© l’a rendu plus fort. Tant et si bien qu’il est devenu l’ovni du systĂšme de la mode, le meilleur rĂ©vĂ©lateur a contrario de son grĂ©garisme et de sa vulgaritĂ©. Rejetant les previews et les fashion weeks, le bling et le buzz, AlaĂŻa faisait dĂ©filer ses sĂ©ries limitĂ©es quand il Ă©tait prĂȘt, en petit comitĂ©, sans cartons d’invitation ni photographes. DĂ©pourvu d’ordinateur, n’ayant jamais utilisĂ© Tweeter, il vivait dans l’antre mĂȘme oĂč il crĂ©ait et travaillait sans cesse, tenant juste table ouverte Ă  l’orientale pour sa tribu de collaborateurs et d’amis. Il a habillĂ© Louise de Vilmorin et Tina Turner, Greta Garbo et Arletty, mais c’est cette derniĂšre – ce mĂ©lange de la rue et d’une Ă©lĂ©gance de reine », disait-il – qui l’aura le mieux dĂ©fini en retour comme l’aristo de la gĂ©nĂ©rositĂ© », mix de chic et de gouaille qui a fait et fera toujours le meilleur de faut lire ou relire le beau livre que lui a consacrĂ© Laurence BenaĂŻm, Azzedine AlaĂŻa, le prince des lignes, Ă  l’occasion de sa splendide rĂ©trospective au MusĂ©e Galliera en 2013 Son trĂ©sor rassemble tout ce qu’il a pu “capter, voir”
 De toutes les images de Tunis, les plus marquantes Ă  ses yeux restent celles des religieuses de Notre-Dame de Sion, avec leur cornette et leur voile blanc. “On jouait Ă  leur courir aprĂšs, j’aimais la maniĂšre dont leur habit prenait la forme du vent, elles Ă©taient belles dans leurs sandales plates, seuls leurs mains et leurs pieds avaient bruni, on aurait dit des chaussettes naturelles”
 Ces souvenirs sont devenus plus que des robes. Ils ont façonnĂ© une appartenance Ă  une famille assez ƓcumĂ©nique, la famille AlaĂŻa, qui unit des chrĂ©tiens, des juifs, des musulmans, dans leur attachement Ă  la terre et au ciel, et peut-ĂȘtre ce sens des rituels. En fĂ©vrier, quand Paris est tout gris, j’aime entrer dans cette boutique cathĂ©drale oĂč rien n’évoque mieux l’étĂ© que ces robes de percale, anges du dĂ©sir, statues de sel tissĂ©, linge suspendu aux balcons du Sud, jupes aux arrondis de coupole
 »J’aimais aussi pousser la porte de ce lieu intemporel sans enseigne ni logo. Je n’y achetais plus rien depuis le passage Ă  l’euro mais j’avais toujours joie Ă  admirer les crĂ©ations du dernier des couturiers, cet homme pur qui disait que quand c’est beau, il n’y a pas d’époque ».
ï»żExposition« Sculpteurs de la forme » À l’occasion de la Fashion week de Paris, les maisons de haute couture Azzeddine AlaĂŻa et Balenciaga se sont associĂ©es pour lancer une exposition intitulĂ©e « AlaĂŻa et Balenciaga, sculpteurs de la forme ». InaugurĂ©e le 20 janvier dernier et se poursuivant jusqu’au 28 juin 2020 rue de la Verrerie Ă  Paris, l’exposition partira en juillet
Azzedine AlaĂŻa n’est d’autres que ce cĂ©lĂšbre couturier d’origine tunisienne, qui a construit son art et son talent Ă  travers l’admiration qu’il portait aux figures illustres et fondatrices de l’histoire de la mode. Pour mieux comprendre et s’approprier l’exposition, il faut se replonger dans l’historique qui a conduit AlaĂŻa Ă  se passionner et collectionner les vĂȘtements d’exception au cƓur de sa maison de couture. C’est bien en observant les techniques de ses aĂŻeux qu’il s’est fait remarquer par son excellence et est devenu le crĂ©ateur que l’on connaĂźt aujourd’hui. AlaĂŻa Ă  la dĂ©couverte de vestiges oubliĂ©s C’est en 1969 que Cristobal Balenciaga dĂ©cide de fermer sa maison de couture qui lui est chĂšre et de se retirer du monde de la mode. Il ne se retrouve plus dans les nouveaux codes prĂŽnĂ©s par la sociĂ©tĂ© française et laisse derriĂšre lui ce nom devenu depuis une lĂ©gende mondiale, inscrite dans notre patrimoine culturel. Les stocks de robes et de tissus restent Ă  l’abandon jusqu’à ce qu’Azzedine AlaĂŻa dont la carriĂšre est en plein essor soit invitĂ© Ă  s’y plonger. FrappĂ© par la qualitĂ© des modĂšles et des coupes, il ne peut se rĂ©soudre Ă  en altĂ©rer la forme et l’architecture par de nouveaux coups de ciseaux et choisit de les conserver prĂ©cieusement pour mieux s’en inspirer. Balenciaga, un mentor Parmi l’ensemble des piĂšces qu’AlaĂŻa a chĂ©ri et protĂ©gĂ© des affres du temps, Balenciaga est la griffe qui fut la plus aimĂ©e et convoitĂ©e. Ses crĂ©ations ne cessĂšrent de l’habiter et c’est ce dialogue artistique que l’exposition met en lumiĂšre. Les deux crĂ©ateurs se retrouvent et Ă©changent Ă  travers leurs vĂȘtements, dans le flou des robes du soir, l’architecture des tailleurs et des manteaux, la mĂȘme passion pour les dentelles et les volants, la dĂ©clinaison de rouges criants et dramatiques. Un rĂ©trospective impressionnante Vous trouverez par moins de quatre-vingts modĂšles sĂ©lectionnĂ©s et prĂ©sentĂ©s pour la premiĂšre fois dans un face-Ă -face saisissant. Chacune des archives a Ă©tĂ© soigneusement et patiemment constituĂ©e par AlaĂŻa, et se retrouve exposĂ©e dans sa maison de couture devenue aujourd’hui siĂšge d’une fondation qui protĂšge sa collection et fait Ɠuvre de mĂ©cĂ©nat. Cette mĂȘme exposition partira ensuite chez le couturier espagnol, Ă  Guetaria, le village qui l’a vu naĂźtre, et oĂč la fondation Balenciaga l’accueillera en juillet 2020. Elle est aussi un hommage plus discret Ă  Hubert de Givenchy qui avait confiĂ© Ă  l’association son souhait de rĂ©unir ces deux talents. Exposition AlaĂŻa et Balenciaga, Sculpteurs de la forme », jusqu’au 3 janvier 2021, Ă  la Fondation Azzedine AlaĂŻa, copyrightJulien Vidal
8Ce catalogue inĂ©dit prĂ©sente une analyse des Ɠuvres d’AlaĂŻa et de Balenciaga ainsi que des textes plus historiques sur l’itinĂ©raire des deux grands couturiers. SignĂ©s de Miren Arzalluz, Laurence BenaĂŻm, Gaspard de MassĂ© ou Olivier
Il a fallu qu’Azzedine AlaĂŻa quitte cette terre, c’était en novembre 2017, pour que l’on prenne la mesure de la beautĂ© et de la richesse de sa collection secrĂšte. Car le dernier des couturiers avait pour passion intime de sauver de l’oubli les piĂšces de ses prĂ©dĂ©cesseurs, et il avait l’oeil. En fin connaisseur du vĂȘtement – et du corps de la femme -, en un travail d’une vie, il a thĂ©saurisĂ© des milliers de merveilles, dont 500 signĂ©es Cristobal Balenciaga. On ne peut taire les convergences entre ces deux grands. C’est celles-lĂ  qu’a tenu Ă  mettre en lumiĂšre Olivier Saillard, directeur de l’Association Azzedine AlaĂŻa. En parfait missionnaire de ce patrimoine Ă  dĂ©voiler, il donne lecture Ă  ces Sculpteurs de la forme et souligne ainsi leur » ombre portĂ©e » en exposant face Ă  face 80 modĂšles de ces deux maĂźtres de la coupe. » L’un comme l’autre Ă©taient aussi habiles dans l’art du tailleur que virtuoses dans le flou, avise-t-il. Ils savaient aussi bien traiter la mousseline, le jersey, la soie que le gros lainage. Ils partageaient Ă©galement un mĂȘme goĂ»t pour le noir, intense, profond, qui appartient Ă  tous les peuples, et pour les couleurs Ă©teintes – ils trouvaient que les imprimĂ©s dĂ©modaient un peu plus vite le vĂȘtement. S’il y a du volume chez chacun, Azzedine est cependant plus agrippĂ© au corps que Balenciaga, qui en Ă©tait plus Ă©loignĂ©. » Hommage affectueux. Azzedine AlaĂŻa, collection hiver 2012.© JULIEN VIDAL Azzedine AlaĂŻa collectionneur, AlaĂŻa et Balenciaga, Sculpteurs de la forme, Association Azzedine AlaĂŻa, Ă  75004 Paris. Du 20 janvier au 28 juin. Azzedine AlaĂŻa, collection couture hiver 2001.© JULIEN VIDAL Cristobal Balenciaga, collection hiver 1954.© JULIEN VIDAL
Au18, rue de la Verrerie, l'exposition « AlaĂŻa et Balenciaga, sculpteurs de la forme » raconte une histoire de transmission et de mĂ©moire. Jusqu'au 28 juin. Le mois de mars, c’est un peu un mois transitoire dans la capitale. L’hiver n’est pas totalement fini, en tĂ©moigne les giboulĂ©es de mars, puis voici que le printemps pointe le bout de son nez Ă  compter du 20 mars, pour le plus grand bonheur de tous. En ce mois de mĂ©tĂ©o en demi-teinte, Paris redouble d’inventivitĂ© et de surprises pour vous sortir dĂ©finitivement de la dĂ©prime hivernale. ÉvĂšnements Ă©phĂ©mĂšres, soirĂ©es dĂ©jantĂ©es, nouveautĂ©s exclusives, spots hauts en couleurs
 Au mois de mars, attendez-vous Ă  ĂȘtre overbookĂ©s ! DĂ©couvrir Fever Talks, les nouvelles confĂ©rences captivantes qui dĂ©barquent Ă  Paris en mars ! Les champignons hallucinogĂšnes, un remĂšde contre la dĂ©pression ? Sommes-nous entourĂ©s de psychopathes au quotidien ? Pourquoi toutes les drogues devraient ĂȘtre lĂ©galisĂ©es ? Connaissez-vous la diffĂ©rence entre protons et Ă©lectrons ? De la physique quantique aux pensĂ©es des tueurs en sĂ©rie en passant par la science des hallucinogĂšnes
 Tous ces sujets fascinants s’offrent Ă  vous avec Fever Talks, ces confĂ©rences captivantes qui s’apprĂȘtent Ă  rĂ©volutionner le tout Paris ! RĂ©servez votre Fever Talks ici Paris CafĂ© Festival au Centquatre du 20 au 22 mars ! Rendez-vous du 20 au 22 mars sous les verriĂšres du Centquatre-Paris pour la deuxiĂšme Ă©dition du Paris CafĂ© Festival, le 1er Ă©vĂ©nement en France consacrĂ© exclusivement au cafĂ© de spĂ©cialitĂ©. Producteurs, torrĂ©facteurs, baristas, Ă©quipementiers plus de 80 exposants vous attendent Ă  Paris CafĂ© Festival. De plus, de nombreuses activitĂ©s rythmeront ces deux jours de fĂȘte ateliers dĂ©gustation, formations, confĂ©rences et dĂ©bats, Ă©preuves des championnats de France de torrĂ©faction, ou encore exposition d’Ɠuvres d’art. Paris CafĂ© Festival what else ? Vos entrĂ©es Ă  chopper ici ! Concerts de Jazz dans le Marais du 4 au 25 mars ! Au sein de la cave voĂ»tĂ©e du 38 RIV dans le Marais, le jazz endiable et rythme les soirĂ©es. Dans ce club de jazz et bar intimiste, en mars, on swingue au son de Tactus ThĂšme ou Nocuts. Les mercredis et samedis Ă  Paris ? C’est soirĂ©e jazzy chez 38 RIV ! Vos soirĂ©es jazz Ă  rĂ©server ici Tournoi de laser game avec Jazzle Paris vendredi 6 mars ! Le 6 mars Ă  Paris, rassemble tes gars sĂ»rs pour le tournoi de laser game le plus dĂ©jantĂ© de Paname ! Envie de dĂ©gainer vos pistolets infrarouges et de partir Ă  l’attaque dans une arĂšne illuminĂ©e de nĂ©ons multicolores ? AprĂšs ce tournoi Ă©reintant, vous pourrez reprendre des forces, fĂȘter votre victoire ou vous consoler de votre dĂ©faite dans un bar ! Profitez-en, c’est offert par la maison ! Votre offre laser game dĂ©jantĂ© entre potes et soirĂ©e dans un bar le 6 mars ici Airdrome 2020 12h de son au Bourget samedi 7 mars ! À Paris, Yoyaku s’apprĂȘte Ă  rĂ©galer les fous de minimal avec son Ă©vĂšnement exceptionnel Airdrome » Et pour cause en mars prochain, c’est l’une des figures emblĂ©matiques de la scĂšne Ă©lectro qui s’apprĂȘte Ă  investir l’aĂ©rodrome du Bourget pour une date unique Ricardo Villalobos, lĂ©gende de l’Amnesia Ibiza. Avec la fusĂ©e Arianne et les avions pour dĂ©cor, profitez de 10 000m2 de teuf et de chill avec un sound system dĂ©coiffant. Du lourd vous dites ? Du trĂšs -trĂšs- lourd ! Prenez vite vos entrĂ©es pour Aidrome samedi 7 mars ici ! AREA Booking Under Black Helmet, DYEN & guests samedi 7 mars ! Plus personne ne les arrĂȘte. AprĂšs une premiĂšre Ă©dition couronnĂ©e de succĂšs, AREA Booking revient Ă  la charge au Nexus, LE nouveau club underground en banlieue parisienne. Leur but ? Semer la culture rave dans toute la ville. Cette fois-ci, ils sont rejoints par des DJs venus des 4 coins du monde, unis par une mission commune vous faire danser toute la nuit. PrĂ©parez-vous Ă  vivre une soirĂ©e de feu, prochain arrĂȘt l’aurore. Attachez vos ceintures ! Vos tickets pour AREA Booking samedi 7 mars ici Mater Tout ne tient qu’à un fil » l’expo photo gratuite de la derniĂšre tournĂ©e de NTM Ă  Paris jusqu’au 10 mars 2020 Photos du public, des rĂ©pĂ©titions, des guests, enregistrements en studio, dates Ă  Bercy, FĂȘte de l’Huma, Solidays
 Durant prĂšs de deux ans, Gianni Giardinelli fut un privilĂ©giĂ© de la tournĂ©e d’adieu de NTM. Dans l’ombre, le photographe a mis en lumiĂšre l’apogĂ©e de 30 ans de carriĂšre de ce groupe mythique de la scĂšne du rap français. Tout savoir ici Atelier DIY Sushis au Belushi’s avec Buffet Ă  VolontĂ© le 11 mars ! Les sushis vous adorez ça ? Vous avez toujours rĂȘvĂ© d’en confectionner comme des grands avec vos petites menottes ? Oui mais voilĂ  vous avez deux mains gauche ! Et Ă  coup sĂ»r, le joli petit sushi finit en risotto ! Dans une ambiance conviviale, apprenez Ă  utiliser la natte en bambou et fabriquez les plus beaux des makis, sashimis et california roll ! Et comme toutes ces jolies couleurs vous donneront faim Ă  coup sĂ»r, au Belush’is, c’est ensuite un giga buffet Ă  volontĂ© qui s’offre Ă  vous, prĂȘt Ă  ĂȘtre dĂ©gommĂ© ! À tableeeee ! Votre atelier DIY + buffet Ă  volontĂ© le 11 mars 2020 ici ! Brunch ou tapas ou les deux au Buddha Bar ! À Paris, le Buddha Bar est une vĂ©ritable institution. Dans un dĂ©cor on ne peut plus somptueux, on se sustente grĂące Ă  un FABULEUX bruch on ne peut plus raffinĂ©. Au Buddha Bar, il est aussi possible de dĂ©guster des tapas japonisants, mĂȘlant luxe et convivialitĂ©. Votre offre au Buddha Bar Hotel ? Le brunch et les tapas version chic ? C’est au Buddha Bar Hotel que ça se passe ! Votre offre Brunch au Buddha Bar Offre cocktail et tapas au Buddha Bar ici Partir en voyage Ă  l’Atelier des LumiĂšres Au programme de cette nouvelle saison, des nouveautĂ©s féériques avec un programme long, un programme court et deux crĂ©ations contemporaines Ă  couper le souffle
 Vous dĂ©sirez connaitre toute la programmation 2020 des splendides voyages immersifs de l’Atelier des LumiĂšres Ă  Paris ? Vous voulez avoir des papillons dans le ventre et des Ă©toiles plein les yeux ? Ouvrez grand vos mirettes, on vous emmĂšne au paradis ! Vos tickets pour l’Atelier des LumiĂšres ici Aller voir l’exposition gratuite Chanel BeautĂ© Pour cĂ©lĂ©brer l’arriver du printemps, une sublime exposition signĂ©e Chanel s’apprĂȘte Ă  Ă©clore au Jardin des Plantes
 Et si l’occasion vous Ă©tait donnĂ©e de vous immiscer dans l’Univers Chanel BeautĂ© ? Lorsque dĂ©ambulation bucolique, science botanique et luxe s’entremĂȘlent, cela donne vie Ă  La beautĂ© se cultive », l’exposition Ă©phĂ©mĂšre de Chanel Beauté  Article Ă  lire ici Admirer le ciel de parapluies roses Ă©phĂ©mĂšre dĂ©ployĂ© au Village Royal Ă  Paris ! AprĂšs le ciel de parapluies multicolores tant plĂ©biscitĂ© par les parisiens, le Village Royal s’apprĂȘte cette fois Ă  vous faire voir la vie en rose
 Ce ciel de parapluies roses Ă©phĂ©mĂšre, c’est avant tout les pensĂ©es d’une muse, en la personne d’Audrey Hepburn. Icone de l’élĂ©gance et de la beautĂ©, elle prononça un jour ces mots » Je crois en la couleur rose. Je crois que le rire est la meilleure façon de brĂ»ler des calories. Je crois aux baisers, beaucoup de baisers. Je crois qu’il faut ĂȘtre forte quand tout semble aller mal. Je crois que les filles joyeuses sont les plus jolies. Je crois que demain est un autre jour et je crois aux miracles. » Tout savoir ici La nouvelle soirĂ©e Bongo’s Bingo Ă  La Bellevilloise samedi 21 mars ! Bongo’s Bingo est de retour ! Hihaaaa ! Vous en avez ras la gavroche des soirĂ©es cul-sĂ©rrĂ©s, des Marie-Chantal et Charles-Antoine prout-prout Ă  souhait ? Exit le bingo de mĂ©mĂ© Ă  Montcuq Ă  l’atmosphĂšre dĂ©ambulateurs-maison de retraite oĂč le plus ouf des lots mis en jeu est un pack de couches Pampers ou de la colle pour dentier
 Bongo’s Bingo, c’est LE jeu complĂštement fou qui rĂ©volutionne Ă  coup sĂ»r vos soirĂ©es entre amis. PrĂȘts pour ce loto complĂštement dĂ©glingo ? Vos entrĂ©es pour Bongo’s Bingo samedi 21 mars ici ! Paris Music Festival 3 jours de concerts dans des lieux parisiens insolites du 19 au 21 mars ! Fort du succĂšs rencontrĂ© en 2019, Paris Music revient cette annĂ©e pour une 5Ăšme Ă©dition aussi Ă©clectique qu’insolite. Sandra NkakĂ©, Surel, Segal & Gubitsch, La Chica, Yan Wagner, Imany
 Amis mĂ©lomanes, prĂ©parez-vous Ă  3 jours de concerts dans des lieux parisiens on ne peut plus inattendus
 RĂ©servez vos places pour Paris Music ici Filer voir L’Exhibition[niste] la splendide expo Louboutin Ă  Paris Si Ă  l’instar de Carrie Bradshaw votre passion ce sont les chaussures, alors cette nouvelle exposition parisienne risque fort de vous enthousiasmer. Car oui, en 2020, le Palais de la Porte DorĂ©e consacre son expo L’Exhibition[niste] Ă  l’oeuvre de Christian Louboutin ! Loulou et Boutin ! Article Ă  lire ici Vous octroyer une visite de l’OpĂ©ra Garnier ! L’OpĂ©ra Garnier Ă  ce petit je ne sais quoi » de l’escalier de Titanic
 Envie de vous la jouer Jack et Rose ? Friand d’en prendre plein les yeux avec un cours d’histoire grandeur nature ? Statue de la Pythie, arabesques fascinants au plafond, grand escalier, haut lieu de mondanitĂ©, nef, ornements imaginĂ©s par Charles Garnier, Grand foyer, Rotonde du Glacier
 Cette visite royale de l’OpĂ©ra Garnier risque de vous laisser Ă©bahis
 Votre visite guidĂ©e de l’OpĂ©ra Garnier Ă  rĂ©server ici Voir la sublime exposition AlaĂŻa – Balenciaga Ă  Paris regards croisĂ©s sur la Haute Couture ! Deux hommes. Deux icĂŽnes de la Haute Couture. Deux sculpteurs de la forme qui ont eu l’étoffe de voir au delĂ  des tendances. Tel un dialogue de la mode, l’exposition AlaĂŻa et Balenciaga sculpteurs de la forme » donne Ă  voir 80 crĂ©ations intemporelles et inĂ©dites de ces deux maitres de coupe indissociables de l’histoire de la mode
 En savoir plus ici Les Petites FlĂšches Bar Ă  flĂ©chettes, cocktails & tapas Vous avez envie de passer un moment convivial, sympathoche, sans prise de tĂȘte ? Dans le mile ! Le bar Les Petites FlĂšches vous attend pour un moment de dĂ©tente entre amis avec de la bonne biĂšre et de savoureux tapas ! GrĂące Ă  une technologie innovante associant comptage automatique des points sur Ă©crans vidĂ©o, replay de vos meilleures prouesses, GIF et animations Ă  chaque lancer, jouer aux flĂ©chettes n’aura jamais Ă©tĂ© aussi fun ! Votre offre flĂ©chettes, biĂšres et tapas ici ! ParenthĂšse mĂ©diĂ©vale Ă  Provins, Ă  seulement 1h de Paris vie_et_vadrouille-emcphotography77 Inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco pour la richesse de son patrimoine, la ville de Provins est un vĂ©ritable joyau mĂ©diĂ©val Ă  seulement 1h de Paris
 Des incontournables Tour CĂ©sar ou grange aux dĂźmes, en passant par ses remparts ou ses nombreux spectacles mettant en scĂšne aigles, chevaliers et troubadours
 Provins vous catapulte littĂ©ralement au moyen-Ăąge. Per Horus, et per RĂą! et per Solem » C’est sorcellerie Messire ! Lire notre article ici Street art la nouvelle expo Ă©phĂ©mĂšre complĂštement toquĂ©e de la Galerie Sakura ! Si les Duduss » de Toctoc avaient pour habitude de se taper l’affiche sur les murs de Paris, voici qu’ils s’apprĂȘtent Ă  Ă©pater la galerie. Et pas n’importe laquelle la Galerie Sakura ! Article Ă  lire ici Du soleil dans l’assiette partir Ă  la dĂ©couverte des meilleurs restos grecs de Paris ! Salut, c’est Nikos ! Envie de dĂ©paysement pour vos papilles ? Cap sur la GrĂšce, pays des dieux de l’Olympe Ă  la cuisine mĂ©diterranĂ©enne sans pareille. PrĂȘts pour une Ă©popĂ©e grecque moderne Ă  Paris ? C’est parti ! Envie de goĂ»ter les plats prĂ©fĂ©rĂ©s de Nikos Ă  Paris ? Par ici ! Cirque RomanĂšs Les Nomades arrivent ! » Dans le 16Ăšme arrondissement de Paris, dĂ©couvrez le nouveau spectacle féérique de la Tribu RomanĂšs. Chants et danses tziganes, jupes colorĂ©s qui virevoltent
 Offrez-vous un voyage hors du temps, au comble du dĂ©paysement. Vos entrĂ©es pour le spectacle de la Tribu RomanĂšs ici Vous rendre Ă  la prolongation de l’expo Marche et dĂ©marche. Une histoire de la chaussure » Depuis le 7 novembre 2019, le MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs de Paris donne Ă  voir aux visiteurs la chaussure sous toutes ses coutures ! Peintures, photographies, films ou archives
 Au total, ce sont pas moins de 500 chaussures qui se pavanent dans les diffĂ©rents espaces du musĂ©e. Forte de son succĂšs, l’expo Marche et dĂ©marche. Une histoire de la chaussure » joue donc les prolongations jusqu’à la fin mars
 En savoir plus ici Concert classique Les quatre saisons » Ă  la Tour Eiffel samedi 28 mars ! Quoi de plus poĂ©tique que de se laisser emporter par un concert classique donnĂ© au sein mĂȘme de la Tour Eiffel ? Le 28 mars prochain, rendez-vous dans le salon Gustave Eiffel afin d’assister Ă  la reprĂ©sentation grandiose des orchestres Classik Ensemble et Paris Classik revisitant les plus grands chefs d’oeuvres classiques
 Un moment hors du temps Ă  vivre le 28 mars ici ! Aller voir la sublime exposition Harper’s Bazaar, premier magazine de mode» À l’occasion de la rĂ©ouverture de ses galeries de la mode entiĂšrement rĂ©novĂ©es, le MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs de Paris prĂ©sente sa sublime exposition dĂ©diĂ©e au cĂ©lĂšbre magazine de mode Harper’s Bazaar
 Lire notre article en entier ici Images Ă  la Une © & ©Reginesemaan sur Instagram – Montages photos ©Laura Coll / Paris Secret - Quand AlaĂŻa rencontre Balenciaga une exposition-Ă©vĂšnement Ă  ne pas manquer ! Jul 13, 2020 - Quand AlaĂŻa rencontre Balenciaga une exposition-Ă©vĂšnement Ă  ne pas manquer ! Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les rĂ©sultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flĂšches Haut et Bas pour parcourir et la touche EntrĂ©e pour sĂ©lectionner. Pour les

Conception d’une collection Point de dĂ©part de toute crĂ©ation de collection, les pages d'ambiances donnent un ton prĂ©cis Ă  l'ensemble du processus gamme de couleur, ligne de vĂȘtements, crĂ©ation d’imprimĂ©s, accessoires, axes de communication, shooting photo Shocking ! Les mondes surrĂ©alistes d’Elsa Schiaparelli – MusĂ©e des Arts dĂ©coratifs L'univers d'Elsa Schiaparelli est ici retranscrit dans toute sa crĂ©ativitĂ© et son originalitĂ©. La crĂ©atrice a dĂ©veloppĂ© une identitĂ© trĂšs personnelle inspirĂ©e fortement du monde symbolique et onirique. Le design pour tous – De Prisunic Ă  Monoprix, une aventure française – MusĂ©e des Arts dĂ©coratifs À la suite des dĂ©buts du prĂȘt-Ă -porter dans les annĂ©es 50, les enseignes Prisunic sont inspirĂ©es par des mĂ©thodes de marketing amĂ©ricaines. Une histoire de la mode au Palais Galliera – MusĂ©e de la Mode de Paris Voici enfin ouverte la premiĂšre galerie de mode permanente du musĂ©e de la Mode de Paris aprĂšs un siĂšcle d'attente Vogue Paris 1920-2020 – Palais Galliera La mode est aux expositions de magazines de mode. AprĂšs Harper's Bazaar au musĂ©e des Arts dĂ©coratifs, le musĂ©e de la Mode de Paris - Palais Galliera prend le relais avec une rĂ©trospective sur le magazine Vogue Paris. Yves Saint-Laurent – Les coulisses de la Haute Couture Ă  Lyon – MusĂ©e Yves Saint-Laurent Immersion dans le processus crĂ©atif d'Yves Saint-Laurent par le prisme des tissus. En partant de la matiĂšre, le couturier adapte la crĂ©ation de ses modĂšles en envisageant le tombĂ© de chaque Ă©toffe. En mode climat L’idĂ©e de crĂ©er une coalition de marques est nĂ©e au printemps 2021 lorsque des centaines de marques ont rĂ©pondu Ă  l’appel sur Linkedin de Thomas Huriez 1083 et Julia Faure Loom qui ont demandĂ© Ă  ce qu’on rajoute le “R” de “RĂ©duire” Ă  la campagne “Reuse - Repair - Recycle” de l'Ă©co-organisme de la FiliĂšre Textile. SebastiĂŁo Salgado – AmazĂŽnia – Philarmonie de Paris Cette exposition nous emmĂšne dĂ©couvrir la diversitĂ© de l'Ă©cosystĂšme amazonien. Les couleurs du ciel, des fleuves, des cascades et de la forĂȘt ont disparu au profit de visuels en noir et blanc mettant en avant les contrastes des paysages de maniĂšre sculpturale. Luxes – MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs L'originalitĂ© et la dĂ©licatesse d'un objet d'art est principalement liĂ©e aux matĂ©riaux qui le composent, Ă  la raretĂ© des pigments, l'agencement et la coupe d'un modĂšle. Harper’s Bazaar – Premier magazine de mode – MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs En crĂ©ant le magazine Harper's Bazar Ă  New York en novembre 1867, les frĂšres Harper souhaitent amener un contenu gĂ©nĂ©raliste, mettant en perspective les modĂšles des crĂ©ateurs de mode avec d'autres domaines crĂ©atifs de leur temps littĂ©rature, peinture et photographie.

ALAÏAet BALENCIAGA Sculpteurs de la forme sous la direction d’Olivier Saillard NOUVEL ACCROCHAGE de L’EXPOSITION et PRESENTATION DU LIVRE. Fondation Azzedine AlaĂŻa 18, rue de la Verrerie, 75004 Paris, France presse@ www.fondationazzedinealaia.org Instagram : Yves Saint Laurent au MusĂ©e des Tissus de Lyon Jusqu’au 8 mars 2020 MusĂ©e des Tissus de Lyon 34 rue de la CharitĂ©, 69002 Lyon L’étoffe des rĂȘves de Lee Young-Hee, SĂ©oul-Paris » Jusqu’au 9 mars 2020 MusĂ©e National des Arts Asiatiques-Guimet 6 Place d’IĂ©na, 750016 Paris Patrick Kelly, The Journey Du 14 janvier au 19 juillet 2020 Scad Fash, Savanna College of Art and Design 1600 Peachtree Streat, Atlanta Azzedine AlaĂŻa, Collectionneur. AlaĂŻa et Balenciaga, Sculpteurs de la Forme Jusqu’au 28 juin 2020 Galerie Azzedine AlaĂŻa 18 rue de la Verrerie, 75004 Paris Eleanor Lambert Empress of Seventh Avenue Du 3 au 28 mars 2020 Fashion Institute of Technology 227 West 27th Street, New York HĂ©ritage, Patrick et Victor Demarchelier Du 24 fĂ©vrier au 11 avril 2020 4, rue LĂ©once Reynaud, Paris 16e Harper’s Bazaar, premier magazine de mode Du 28 fĂ©vrier au 14 juillet 2020 MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs 107 rue de Rivoli, 75001 Paris Kimono Kyoto to Catwalk A partir du 29 fĂ©vrier 2020 Victoria and Albert Museum Cromwell Road, London, SWT 2RL Luxes Du 23 avril au 16 aoĂ»t 2020 MusĂ©e des Arts DĂ©coratifs 107-111 rue de Rivoli, 75001 Paris Bags Inside Out A partir du 25 avril 2020 Victoria & Albert Museum Cromwell Road, London, SWT 2RL Couturiers de la danse Jusqu’au 3 mai 2020 Centre National du Costume de scĂšne Quartier Villars, Route de Montilly, 0300 Moulins Little Black Dress Du 26 juin au 25 octobre 2020 National Museum of Scotland Chambers St, Edinburgh EH1 1JF, Royaume-Uni

azzedinealaĂŻa collectionneur, alaĂŻa et balenciaga sculpteurs de la forme - vidĂ©o Sylvie Delpech En 1968, ne se reconnaissant pas dans l’essor du prĂȘt-Ă -porter naissant, lui qui n’avait fait que servir religieusement le dogme de

Azzedine AlaĂŻa ©Jean-Baptiste Mondino – 1988 // ©Cristobal Balenciaga Une exposition pour le moins originale Azzedine AlaĂŻa & Cristobal Balenciaga, Sculpteurs de la mode est Ă  dĂ©couvrir tout l’étĂ© Ă  la Fondation Azzedine AlaĂŻa, Ă  Paris, qui n’est autre que l’ancien hangar du BHV. Pourquoi ces deux gĂ©ants de la haute couture se retrouvent-ils sur la mĂȘme affiche ? Tout simplement, une question d’admiration de l’un Azzedine AlaĂŻa pour l’autre Cristobal Balenciaga 
 Deux crĂ©ateurs sur une mĂȘme affiche En effet, si les piĂšces admirables du couturier espagnol cĂŽtoient aujourd’hui celles du non moins impressionnant styliste d’origine tunisienne, c’est que tout au long de sa carriĂšre, le devenu trĂšs parisien Azzedine AlaĂŻa a vouĂ© une admiration sans borne pour Cristobal Balenciaga. Il a ainsi constituĂ© des archives uniques des piĂšces de son illustre ainĂ©. Des modĂšles qui l’inspireront tout au long de sa carriĂšre et tout le jeu de cette exposition est bel et bien de dĂ©couvrir les ponts artistiques qui existent entre les deux crĂ©ateurs ! Pour la petite histoire, en 1968, Balenciaga dĂ©cide de fermer toutes ses boutiques de prĂȘt-Ă -porter et c’est Azzedine AlaĂŻa qui rĂ©cupĂšre de trĂšs nombreuses piĂšces en hommage Ă  son maitre en couture, sans jamais se rencontrer ! Des modĂšles qu’il conservera jusqu’à sa mort, en 2017, et qui sont donc aujourd’hui prĂ©sentĂ©s au public Ă  la Fondation Azzedine AlaĂŻa avec ses propres piĂšces
 ©Azzedine AlaĂŻa // ©Cristobal Balenciaga 80 joyaux textiles Ă  admirer Dans le labyrinthe transparent de la Fondation Azzedine AlaĂŻa, 80 robes, tailleurs et autres bolĂ©ros s’offrent au public et se rĂ©pondent
 et on se prend mĂȘme Ă  ne plus savoir Ă  qui sont les piĂšces, toutes plus impressionnantes les unes que les autres ! Voici donc un petit aperçu du travail de chacun des deux crĂ©ateurs pour vous y retrouver AssurĂ©ment, Azzedine AlaĂŻa fait partie de ces couturiers du 20Ăšme siĂšcle qui ont trĂšs largement contribuĂ© Ă  dĂ©finir la silhouette fĂ©minine. On se souvient de son travail dans les annĂ©es 1980 qui donnait Ă  ses muses – de Grace Jones Ă  Tina Turner en passant par Naomi Campbell – une allure et une assurance ultra sexy ! C’est en effet lui qui inventa le body, le caleçon noir moulant, mais aussi la jupe zippĂ©e dans le dos. Des modĂšles que l’on retrouvera ensuite chez la plupart des autres stylistes de sa gĂ©nĂ©ration
 ©Azzedine AlaĂŻa Et au cours de l’exposition, on comprend mieux la passion d’AlaĂŻa pour Balenciaga, tant le travail de ce dernier, quelques annĂ©es auparavant, avait le mĂȘme souci du corps des femmes et de leur silhouette. Ces clientes Ă©taient alors Elizabeth Taylor, Grace Kelly ou encore Audrey Hepburn
 En effet, comme chez AlaĂŻa, les piĂšces de Balenciaga sont sculpturales, les coupes franches et Ă©purĂ©es. Lui aussi mettait un point d’honneur Ă  choisir au mieux les tissus de ces modĂšles, allant mĂȘme jusqu’à crĂ©er de nouveaux tissus. On lui doit par exemple le gazar, un tissu de soie fabriquĂ© avec des fils doubles Ă  haute torsion tissĂ©s en un seul. Enfin, si Azzedine aimait autant Cristobal, c’est aussi qu’ils se retrouvaient dans leur passion commune pour le noir ! Chez Balenciaga comme chez AlaĂŻa, le noir Ă©tait une constante qui participait Ă  structurer leurs piĂšces
 ©Cristobal Balenciaga La Fondation Azzedine AlaĂŻa accueille l’exposition depuis le 20 janvier dernier. Le confinement n’ayant pas permis au public de venir admirer comme il l’aurait souhaitĂ© le travail des deux couturiers, AlaĂŻa & Balenciaga, Sculpteurs de la forme restera ouverte jusqu’au 3 janvier 2021. Ensuite, l’exposition voyagera au musĂ©e Cristobal Balenciaga de Getaria – Pays basque espagnol – la ville de naissance du couturier et modiste
 ALAÏA ET BALENCIAGA, Sculpteurs de la forme Jusqu’au 3 janvier 2021 Horaires Tous les jours de 11h Ă  19h Lieu Fondation Azzedine AlaĂŻa – 18 rue de la Verrerie, 75 004 Paris Tarif 5€ 2€ tarif rĂ©duit A lire Comment le noir est devenu la couleur de la mode ? MUSÉE DES TISSUS DE LYON Yves Saint Laurent, les coulisses de la Haute Couture Exposition Christian Louboutin L’Exhibition[niste]
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